vendredi 13 novembre 2009

Rapa Nui (Ile de Pâques)

Géographiquement j’ai bien quitté le continent même si je suis toujours au Chili puis l’île de Pâques en fait partie. On y parle donc espagnol même si Rapa Nui à sa propre langue le Rapa Nui qui se rapproche beaucoup du polynésien.
Un petit peu de géographie, par abus de language on appelle Polynésie la Polynésie Française, alors que la Polynésie Française n’est qu’une partie de la Polynésie. Mais qu’est-ce que la Polynésie. Tout simplement l’ensemble des îles qui se trouve dans le triangle formé par Rapa Nui, Hawaï et la Nouvelle Zélande ; en gros un bonne partie du Pacifique. Rapa Nui est de ce fait également appelée la porte du paradis.
Et elle porte bien son nom car on est vraiment dans un monde à part. Une des îles les plus isolée de la planète il y a beaucoup de choses à découvrir et à apprendre.
J’ai passé une semaine magique, tant par la beauté du paysage, la culture, la gentillesse des gens que j’ai rencontré, et le mystère qui entoure cette île.
Pour la première fois depuis le début de mon voyage je suis resté une semaine dans la même chambre ! forcement il n’y a qu’un village sur l’île.
Visite du musée pour commencer et en savoir un peu plus avant de se lancer sur les sentiers. Promenades à pied, à scooter, avec des palmes, j’ai découvert une partie des richesses que cette île offre sur terre ou sous la mer dans cette eau fraîche mais très claire. La météo a été clémente pour une fin de saison des pluies.
Je vous laisse en photos qui montrent les différents Ahu, plateformes cérémoniales, où l’on trouve les Moais, célèbres statues qui ont été redressées pour beaucoup d’entre-elles lors de restorations. Eh oui elles étaient toutes tombées à l’arrivée des colonisateurs ; également les volcans et leurs magnifiques cratère, surtout celui de Rano Kau (le plus grand et impressionnant) à coté du village d’Orongo ; la carrière des Moais au pied du Rano Raraku ; le Tongariki (Ahu aux célèbres 15 Moais) ; la plage d’Anakena ; le spectacle de danse traditionnelle de la troupe Kari-Kari ; et tant d’autres choses.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire