STOP !
Bien peu de nouvelles ces dernières semaines et voilà que ça tombe.
Je vous le dis donc : J'arrête de voyager à travers le monde ! (pour le moment bien sûr et de cette façon)
J'ai pris un plaisir immense à parcourir ces quelques pays. J'ai la tête bien remplie de souvenirs à partager.
Pourquoi arrêter ? si je devais donner deux raisons bien qu'elles ne soient pas nécessaires, la première est simple j'ai dépensé mes économies ; la seconde n'est pas plus compliquée, quoi de mieux que de passer en France pour voir la famille et les amis au moment de Noël ? ça fait quelques mois que je n'ai pas connu le froid, la fraîcheur de temps en temps mais ça remonte à bien longtemps également, encore du changement en perspective !
Comme vous vous en doutez, le silence de ces dernières semaines sera rattrapé pour que vous sachiez comment j'ai profité au mieux de mon temps. A tel point qu'internet était bien de coté.
En quelques mots, depuis Tahiti, j'ai fini ma traversée de la Polynésie avec la Nouvelle Zélande, puis je suis passé du côté de Sydney en Australie avant d'aller à Madagascar. Je suis en ce moment quelque part dans le ciel après avoir passé le 300 ème jour de mon voyage à Johannesbourg en Afrique du Sud.
A venir donc, encore des histoires et des photos pour compléter ce site, qui à ma façon vous aura montré l'endroit et l'envers de mon décors au travers de :
3 cents jours,
2 yeux,
1 voyage !
Merci à tout le monde, famille, amis, rencontres lors du voyage... , la liste serait bien longue mais je ne t'oublie pas Boquet encore merci à toi !
Tato
Ici ou ailleurs mais toujours là...
dimanche 20 décembre 2009
vendredi 18 décembre 2009
vendredi 13 novembre 2009
Polynésie Française
J’allais tout de même pas m’arrêter à la porte ! Me voici donc en plein dans la Polynésie, et quoi de tel que de faire un petit détour par la France ça faisait longtemps que je n’y avais pas mis les pieds...
Accueilli sur Tahiti par S. et N., que je remercie une fois de plus, j’entre tranquillement dans le bain (ça tombe bien il pleut) et la chaleur ! Promenade à la plage (de sable noir sur Tahiti), en ville avec son marché haut en couleurs, je continue mon chemin jusqu’à l’office du tourisme où je rencontre M. qui me proposera de me joindre à lui pour quelques jours sur Huahiné.
J’accepte l’offre, passe une dernière soirée avec S. et N. pour manger des sashimis délicieux sur la place puis pour aller voir les grands balais de Tahiti.
Je pars le lendemain pour Huahiné qui est une île des îles sous le vents, (Tahiti est une des îles du vent). Très sauvage et plutôt épargnée de grands complexes hôtelliers, je l’aide à travailler à l’entretien de terrains de l’association Objectif-sciences pour laquelle il travaille. Nous visitons l’île, plage, marché, ferme perlière, Marae (site religieux cérémonial), nous discutons avec ses amis et il est temps pour moi après une belle plongée sous-marine de prendre les airs pour Rangiroa.
Passage obligé par Tahiti, je continue vers Rangiroa, un atoll des Tuamotus.
Mais qu’est-ce que c’est un atoll ? pourquoi le sable de Tahiti est noir ? j’essaye d’expliquer en quelques mots (forcement il faut simplifier).
Revenons quelques années (beaucoup en fait) en arrière, à la formation de ces îles. Tahiti est la plus jeune, c’est essentiellement un ensemble de volcans très hauts (plus de 2000 mètres d’altitude) qui n’a quasiment pas de lagon, ses plages étant formées de roches volcaniques donc noires. Le temps s’écoule, et l’île s’enfonce, et les coraux qui se trouvent autour de l’île continuent de se développer formant petit à petit un anneau de corail autour de l’île qui s’enfonce au milieu (les coraux se développe non loin de la surface) ce qui donne Huahiné, une île un peu plus ancienne avec des volcans moins hauts, un lagon et un récif coralien, les plages de sable blanc commencent à se former avec les résidus des coraux morts. Le temps s’écoule encore et l’île disparait sous l’eau, pourtant les coraux ont continués de se développer et le récif coralien est toujours présent, laissant place à un atoll qui est juste un anneau de corail au milieu de l’océan avec un lagon au milieu, des belles plages de sable blanc et une altitude inférieure à 5 mètres.
Vous avez tout compris ???
Me voici donc sur Rangiroa, un des plus grands atoll du monde (on peut mettre Tahiti dans son lagon). Au programme far niente, plongées et visites (ferme perlière, lagon bleu)... Les plongées sont magnifiques tout comme l’île. C’est magique de voir tous ces coraux, poissons, gros poissons (requins pour pas les nommer), raies manta, dauphins...
Avec plein d’étoiles dans les yeux je retourne sur Tahiti avant de quitter ce petit coin de paradis...
Accueilli sur Tahiti par S. et N., que je remercie une fois de plus, j’entre tranquillement dans le bain (ça tombe bien il pleut) et la chaleur ! Promenade à la plage (de sable noir sur Tahiti), en ville avec son marché haut en couleurs, je continue mon chemin jusqu’à l’office du tourisme où je rencontre M. qui me proposera de me joindre à lui pour quelques jours sur Huahiné.
J’accepte l’offre, passe une dernière soirée avec S. et N. pour manger des sashimis délicieux sur la place puis pour aller voir les grands balais de Tahiti.
Je pars le lendemain pour Huahiné qui est une île des îles sous le vents, (Tahiti est une des îles du vent). Très sauvage et plutôt épargnée de grands complexes hôtelliers, je l’aide à travailler à l’entretien de terrains de l’association Objectif-sciences pour laquelle il travaille. Nous visitons l’île, plage, marché, ferme perlière, Marae (site religieux cérémonial), nous discutons avec ses amis et il est temps pour moi après une belle plongée sous-marine de prendre les airs pour Rangiroa.
Passage obligé par Tahiti, je continue vers Rangiroa, un atoll des Tuamotus.
Mais qu’est-ce que c’est un atoll ? pourquoi le sable de Tahiti est noir ? j’essaye d’expliquer en quelques mots (forcement il faut simplifier).
Revenons quelques années (beaucoup en fait) en arrière, à la formation de ces îles. Tahiti est la plus jeune, c’est essentiellement un ensemble de volcans très hauts (plus de 2000 mètres d’altitude) qui n’a quasiment pas de lagon, ses plages étant formées de roches volcaniques donc noires. Le temps s’écoule, et l’île s’enfonce, et les coraux qui se trouvent autour de l’île continuent de se développer formant petit à petit un anneau de corail autour de l’île qui s’enfonce au milieu (les coraux se développe non loin de la surface) ce qui donne Huahiné, une île un peu plus ancienne avec des volcans moins hauts, un lagon et un récif coralien, les plages de sable blanc commencent à se former avec les résidus des coraux morts. Le temps s’écoule encore et l’île disparait sous l’eau, pourtant les coraux ont continués de se développer et le récif coralien est toujours présent, laissant place à un atoll qui est juste un anneau de corail au milieu de l’océan avec un lagon au milieu, des belles plages de sable blanc et une altitude inférieure à 5 mètres.
Vous avez tout compris ???
Me voici donc sur Rangiroa, un des plus grands atoll du monde (on peut mettre Tahiti dans son lagon). Au programme far niente, plongées et visites (ferme perlière, lagon bleu)... Les plongées sont magnifiques tout comme l’île. C’est magique de voir tous ces coraux, poissons, gros poissons (requins pour pas les nommer), raies manta, dauphins...
Avec plein d’étoiles dans les yeux je retourne sur Tahiti avant de quitter ce petit coin de paradis...
Rapa Nui (Ile de Pâques)
Géographiquement j’ai bien quitté le continent même si je suis toujours au Chili puis l’île de Pâques en fait partie. On y parle donc espagnol même si Rapa Nui à sa propre langue le Rapa Nui qui se rapproche beaucoup du polynésien.
Un petit peu de géographie, par abus de language on appelle Polynésie la Polynésie Française, alors que la Polynésie Française n’est qu’une partie de la Polynésie. Mais qu’est-ce que la Polynésie. Tout simplement l’ensemble des îles qui se trouve dans le triangle formé par Rapa Nui, Hawaï et la Nouvelle Zélande ; en gros un bonne partie du Pacifique. Rapa Nui est de ce fait également appelée la porte du paradis.
Et elle porte bien son nom car on est vraiment dans un monde à part. Une des îles les plus isolée de la planète il y a beaucoup de choses à découvrir et à apprendre.
J’ai passé une semaine magique, tant par la beauté du paysage, la culture, la gentillesse des gens que j’ai rencontré, et le mystère qui entoure cette île.
Pour la première fois depuis le début de mon voyage je suis resté une semaine dans la même chambre ! forcement il n’y a qu’un village sur l’île.
Visite du musée pour commencer et en savoir un peu plus avant de se lancer sur les sentiers. Promenades à pied, à scooter, avec des palmes, j’ai découvert une partie des richesses que cette île offre sur terre ou sous la mer dans cette eau fraîche mais très claire. La météo a été clémente pour une fin de saison des pluies.
Je vous laisse en photos qui montrent les différents Ahu, plateformes cérémoniales, où l’on trouve les Moais, célèbres statues qui ont été redressées pour beaucoup d’entre-elles lors de restorations. Eh oui elles étaient toutes tombées à l’arrivée des colonisateurs ; également les volcans et leurs magnifiques cratère, surtout celui de Rano Kau (le plus grand et impressionnant) à coté du village d’Orongo ; la carrière des Moais au pied du Rano Raraku ; le Tongariki (Ahu aux célèbres 15 Moais) ; la plage d’Anakena ; le spectacle de danse traditionnelle de la troupe Kari-Kari ; et tant d’autres choses.
Un petit peu de géographie, par abus de language on appelle Polynésie la Polynésie Française, alors que la Polynésie Française n’est qu’une partie de la Polynésie. Mais qu’est-ce que la Polynésie. Tout simplement l’ensemble des îles qui se trouve dans le triangle formé par Rapa Nui, Hawaï et la Nouvelle Zélande ; en gros un bonne partie du Pacifique. Rapa Nui est de ce fait également appelée la porte du paradis.
Et elle porte bien son nom car on est vraiment dans un monde à part. Une des îles les plus isolée de la planète il y a beaucoup de choses à découvrir et à apprendre.
J’ai passé une semaine magique, tant par la beauté du paysage, la culture, la gentillesse des gens que j’ai rencontré, et le mystère qui entoure cette île.
Pour la première fois depuis le début de mon voyage je suis resté une semaine dans la même chambre ! forcement il n’y a qu’un village sur l’île.
Visite du musée pour commencer et en savoir un peu plus avant de se lancer sur les sentiers. Promenades à pied, à scooter, avec des palmes, j’ai découvert une partie des richesses que cette île offre sur terre ou sous la mer dans cette eau fraîche mais très claire. La météo a été clémente pour une fin de saison des pluies.
Je vous laisse en photos qui montrent les différents Ahu, plateformes cérémoniales, où l’on trouve les Moais, célèbres statues qui ont été redressées pour beaucoup d’entre-elles lors de restorations. Eh oui elles étaient toutes tombées à l’arrivée des colonisateurs ; également les volcans et leurs magnifiques cratère, surtout celui de Rano Kau (le plus grand et impressionnant) à coté du village d’Orongo ; la carrière des Moais au pied du Rano Raraku ; le Tongariki (Ahu aux célèbres 15 Moais) ; la plage d’Anakena ; le spectacle de danse traditionnelle de la troupe Kari-Kari ; et tant d’autres choses.
mercredi 11 novembre 2009
Santiago du Chili
Un bus de nuit, des formalités dans le froid de la montagne, nous sommes à la frontière entre l’Argentine et le Chili. Au passage il y a une station de ski du coté Chilien et la neige est au rendez-vous, nous sommes bien à plus de 3000 mètres.
Qui l’eut cru, me voici déjà à Santiago au Chili. Ca va vite ça va vite.
Grande ville aux quartiers différents. Il y fait bon se promener. Aussi bien en ville que sur les montagnes environnantes. Soit à pied soit en funiculaire (avec tout de même une redescente à pied, il faut bien se rattraper).
La ville est vraiment au pied des montagnes c’est assez impressionant.
Il faudra revenir un jour pour visiter le sud chilien et argentin, il est temps pour moi de quitter ce continent dans lequel je me promène depuis si longtemps...
Qui l’eut cru, me voici déjà à Santiago au Chili. Ca va vite ça va vite.
Grande ville aux quartiers différents. Il y fait bon se promener. Aussi bien en ville que sur les montagnes environnantes. Soit à pied soit en funiculaire (avec tout de même une redescente à pied, il faut bien se rattraper).
La ville est vraiment au pied des montagnes c’est assez impressionant.
Il faudra revenir un jour pour visiter le sud chilien et argentin, il est temps pour moi de quitter ce continent dans lequel je me promène depuis si longtemps...
Mendoza
Eh oui me voilà déjà du coté ouest de ce pays fort sympathique. Mendoza, toujours marquée par l’influence coloniale, est très accueillante. Située dans une région vinicole très réputée, je vais bien sûr faire un petit tour dans les caves et également les oliveraies.
Sans perdre de temps j’enchaîne le lendemain avec un peu de marche et de descente en rappel histoire de se tenir bien en forme !
Sans perdre de temps j’enchaîne le lendemain avec un peu de marche et de descente en rappel histoire de se tenir bien en forme !
Cordoba
Un petit bus de nuit (ça faisait longtemps rires) pour arriver jusqu’à Cordoba. Deuxième plus grande ville d’Argentine après la capitale Buenos Aires, je n’y reste pas très longtemps, mais suffisament pour découvrir sa beauté architecturale.
Une fois de plus je me fais très plaisir avec un petit churasco argentin. Pour ceux qui ne connaissent pas c’est un en simplifiant, un grand barbecue. Le boeuf argentin tient bien sa réputation.
Une fois de plus je me fais très plaisir avec un petit churasco argentin. Pour ceux qui ne connaissent pas c’est un en simplifiant, un grand barbecue. Le boeuf argentin tient bien sa réputation.
Salta
Et hop une autre frontière avec ses formalités avant de prendre un bus pour Salta. Ville assez agréable du nord de l’Argentine, je rencontre à l’auberge XXX avec qui je vais passer les quelques jours.
Ca fait assez bizarre de se retrouver dans un univers beaucoup plus développé que la Bolivie avec les boutiques et autres artifices commerciaux que l’on peut voir dans les pays développés.
Petite promenade en haut de la montagne avec les cabines pour voir un peu les environs. Oui oui je commence à être faignant !
Ca fait assez bizarre de se retrouver dans un univers beaucoup plus développé que la Bolivie avec les boutiques et autres artifices commerciaux que l’on peut voir dans les pays développés.
Petite promenade en haut de la montagne avec les cabines pour voir un peu les environs. Oui oui je commence à être faignant !
mercredi 14 octobre 2009
Mais que fait-il ?
Et un petit message de plus, il n'y en a pas assez à lire d'un seul coup, pour venir m'excuser de tout le retard accumulé !
Je dois bien avouer que passer du temps derrière un pc pour vous tenir informé et mettre des photos en ligne est bien moins agréable que visiter ces contrées du monde seul ou avec les personnes que je rencontre.
Ici ou ailleurs mais toujours là... à un moment ou un autre pour tenter de vous faire rêver et apprécier à votre tour ce que j'ai pu voir.
Bonne promenade en Bolivie !
Je dois bien avouer que passer du temps derrière un pc pour vous tenir informé et mettre des photos en ligne est bien moins agréable que visiter ces contrées du monde seul ou avec les personnes que je rencontre.
Ici ou ailleurs mais toujours là... à un moment ou un autre pour tenter de vous faire rêver et apprécier à votre tour ce que j'ai pu voir.
Bonne promenade en Bolivie !
Tupiza
Je suis de nouveau seul, CK remontent vers Potosi et HK sont en route pour le Machu Picchu. Tupiza est ma dernière étape bolivienne.
Il fait presque chaud. Le décors à beaucoup changé, nous sommes dans des terres rouges, les dernières terres de Butch Cassidy...
C’est sur le dos d’un cheval que je décide de visiter les environs et d’observer les magnifiques paysage qu’offre une fois de plus la Bolivie.
Je dois bien avouer que le galop final sur la voie de chemin de fer pendant de nombreuses minutes était magique...
Mes fessiers resteront marqués quelques jours par cette balade de 7 heures !!
Il fait presque chaud. Le décors à beaucoup changé, nous sommes dans des terres rouges, les dernières terres de Butch Cassidy...
C’est sur le dos d’un cheval que je décide de visiter les environs et d’observer les magnifiques paysage qu’offre une fois de plus la Bolivie.
Je dois bien avouer que le galop final sur la voie de chemin de fer pendant de nombreuses minutes était magique...
Mes fessiers resteront marqués quelques jours par cette balade de 7 heures !!
Les mines de Potosi
Nous remontons un peu la montagne jusqu’à Potosi. Une ville minière qui a eu son apogée et qui commence apparemment son déclin.
Lorsque les colons sont arrivés, assoiffés par les richesses, ils ont fait exploiter cette mine d’argent (essentiellement à cette époque) de manière excessive et impressionnante. Esclaves et conditions de travail très dure. C’est une mine qui porte une histoire très forte et il est aujourd’hui possible de visiter certains tunnels qui sont toujours en activité.
Les mineurs ne mangent pas durant leurs longues journées sous terre, ils ont pour seule ressource les feuilles de coca qui leur donnent la force nécessaire au travail, et l’alcool (96%) qu’ils boivent soit pur pour espérer trouver un minerai très pur, ou parfois dilué. Avec un tel mélange, ils peuvent travailler de nombreuses heures consécutives (les esclaves de l’époque de la colonisation pouvaient travailler jusqu’à 48 heures non-stop).
Les conditions de travail n’ont quasiment pas changé depuis 500 ans environ, personne ne sait quand la mine n’aura plus de minerai... Les mineurs les plus riches travaillent avec des outils pneumatiques, et les plus pauvres au marteau et au burin !
Nous finissons cette visite des mines très impressionnante et bouleversante en offrant quelques présents aux mineurs qui sont en train de travailler (c’est la pause) puis nous sortons pour faire exploser de quelques batons de dynamites avant de retourner en ville.
Lorsque les colons sont arrivés, assoiffés par les richesses, ils ont fait exploiter cette mine d’argent (essentiellement à cette époque) de manière excessive et impressionnante. Esclaves et conditions de travail très dure. C’est une mine qui porte une histoire très forte et il est aujourd’hui possible de visiter certains tunnels qui sont toujours en activité.
Les mineurs ne mangent pas durant leurs longues journées sous terre, ils ont pour seule ressource les feuilles de coca qui leur donnent la force nécessaire au travail, et l’alcool (96%) qu’ils boivent soit pur pour espérer trouver un minerai très pur, ou parfois dilué. Avec un tel mélange, ils peuvent travailler de nombreuses heures consécutives (les esclaves de l’époque de la colonisation pouvaient travailler jusqu’à 48 heures non-stop).
Les conditions de travail n’ont quasiment pas changé depuis 500 ans environ, personne ne sait quand la mine n’aura plus de minerai... Les mineurs les plus riches travaillent avec des outils pneumatiques, et les plus pauvres au marteau et au burin !
Nous finissons cette visite des mines très impressionnante et bouleversante en offrant quelques présents aux mineurs qui sont en train de travailler (c’est la pause) puis nous sortons pour faire exploser de quelques batons de dynamites avant de retourner en ville.
Uyuni, son salar et le sud
Peut-être que le nom est connu pour certains d’entre vous, si je dis « désert de sel », ça vous parle peut-être un peu plus.
Nous sommes 5, et nous partons avec un chauffeur guide pour une balade de 4 jours.
Un programme qui commencera non loin d’Uyuni avec un cimetière de trains datant de l’époque de la colonisation. Nous prenons ensuite la direction du fameux Salar, jusqu’au volcan Tunupa au nord. Nous le retraverserons avec une petite étape par l’île poisson au milieu du lac (avec tous ces cactus). Petite nuit dans un hôtel de sel et nous prenons la route vers le sud. De nombreux lacs sur la route, un lac rouge, un autre vert, des déserts de pierre, dont un nommé le désert de Dali... Des flamands roses de partout... et un paysage digne de l’idée que j’ai de la planète Mars avec des couleurs très vives surtout quand le soleil est bas sur l’horizon...
L’incroyable beauté de cette région restera gravée dans ma mémoire !
Je vous laisse apprécier les nombreuses photos qui valent bien mieux que mes mots...
Nous sommes 5, et nous partons avec un chauffeur guide pour une balade de 4 jours.
Un programme qui commencera non loin d’Uyuni avec un cimetière de trains datant de l’époque de la colonisation. Nous prenons ensuite la direction du fameux Salar, jusqu’au volcan Tunupa au nord. Nous le retraverserons avec une petite étape par l’île poisson au milieu du lac (avec tous ces cactus). Petite nuit dans un hôtel de sel et nous prenons la route vers le sud. De nombreux lacs sur la route, un lac rouge, un autre vert, des déserts de pierre, dont un nommé le désert de Dali... Des flamands roses de partout... et un paysage digne de l’idée que j’ai de la planète Mars avec des couleurs très vives surtout quand le soleil est bas sur l’horizon...
L’incroyable beauté de cette région restera gravée dans ma mémoire !
Je vous laisse apprécier les nombreuses photos qui valent bien mieux que mes mots...
Sucre
Arrivée matinale (une fois de plus) à Sucre, la capitale administrative du pays. Il y fait un peu plus chaud car nous sommes bien moins haut que La Paz.
La ville est très marquée par l’influence coloniale, et une atmosphère relaxante y règne. Promenade jusqu’au mirador puis dans la ville.
Un petit détour par un musée où il est possible de voir des empruntes de dinosaures. Une petite explication rapide du pourquoi les empruntes sont quasi verticales.
Retour quelques millions d’années en arrière, avant que la cordillière des Andes soit créée. Les dinosaures marchaient à plat, puis les couches de sédiments etc, se sont accumulées par dessus, puis d’autres empruntes, et ainsi de suite. Et c’est au tour des plaques techtoniques de jouer aux auto-tamponeuses pour lever la terre, et créer les montagnes. Les couches se trouvent donc portées en altitude.
Et une petite anecdote pour finir... Sans la carrière de ciment qui a creusé la montagne (qui la creuse toujours) ces empruntes n’auraient peut-être jamais été découvertes...
La ville est très marquée par l’influence coloniale, et une atmosphère relaxante y règne. Promenade jusqu’au mirador puis dans la ville.
Un petit détour par un musée où il est possible de voir des empruntes de dinosaures. Une petite explication rapide du pourquoi les empruntes sont quasi verticales.
Retour quelques millions d’années en arrière, avant que la cordillière des Andes soit créée. Les dinosaures marchaient à plat, puis les couches de sédiments etc, se sont accumulées par dessus, puis d’autres empruntes, et ainsi de suite. Et c’est au tour des plaques techtoniques de jouer aux auto-tamponeuses pour lever la terre, et créer les montagnes. Les couches se trouvent donc portées en altitude.
Et une petite anecdote pour finir... Sans la carrière de ciment qui a creusé la montagne (qui la creuse toujours) ces empruntes n’auraient peut-être jamais été découvertes...
La Paz
Une grande ville, perchée dans les montagnes, n’oublions pas que nous sommes en altitude depuis Puno au Pérou.
Malgré la grandeur, c’est assez agréable de s’y promener, tant dans les différents parcs et places que dans les petites rues avoisinantes.
Bien sûr nous passons, sur nos gardes, par la rue des sorcières et ses célèbres boutiques.
Une visite au Musée de la Coca très enrichissant ! Vous savez cette feuille que les autochtones chiquent qui a donné son nom à une célèbre boisson.
Un peu de sport ne fait pas de mal, il est temps de faire une balade en VTT (une petite balade de 65 km environ). Enfin n’exagérons pas, on va se contenter de faire de la descente avec un tout petit peu de montée. VTT tous équipés, nous avec, nous prenons un bus qui nous amènera à environ 4700 mètres d’altitude pour le début de la descente... nous empruntons bien sûr « The World’s Most Dangerous Road » (La route la plus dangereuse du monde) durant une bonne partie de la descente. Changement de végétation impressionant, nous arrivons à destination dans un refuge pour animaux (maltraités dans leur passé) qui se trouve à quelques 1100 mètres d’altitude, je vous laisse calculer le dénivellé.
Pas de bobo pour personne du groupe, nous remontons la route en bus pour retourner à La Paz.
Malgré la grandeur, c’est assez agréable de s’y promener, tant dans les différents parcs et places que dans les petites rues avoisinantes.
Bien sûr nous passons, sur nos gardes, par la rue des sorcières et ses célèbres boutiques.
Une visite au Musée de la Coca très enrichissant ! Vous savez cette feuille que les autochtones chiquent qui a donné son nom à une célèbre boisson.
Un peu de sport ne fait pas de mal, il est temps de faire une balade en VTT (une petite balade de 65 km environ). Enfin n’exagérons pas, on va se contenter de faire de la descente avec un tout petit peu de montée. VTT tous équipés, nous avec, nous prenons un bus qui nous amènera à environ 4700 mètres d’altitude pour le début de la descente... nous empruntons bien sûr « The World’s Most Dangerous Road » (La route la plus dangereuse du monde) durant une bonne partie de la descente. Changement de végétation impressionant, nous arrivons à destination dans un refuge pour animaux (maltraités dans leur passé) qui se trouve à quelques 1100 mètres d’altitude, je vous laisse calculer le dénivellé.
Pas de bobo pour personne du groupe, nous remontons la route en bus pour retourner à La Paz.
Copacabana et Isla del Sol (lac Titicaca)
Arrivée en douceur dans ce nouveau pays, nous nous installons un peu dans les hauteurs de la ville, ce qui nous donne une belle vue d’ensemble depuis la terrasse sur le toit.
Ville frontalière qui n’a pas de distributeur d’argent, ce qui n’est pas pratique du tout, il est temps de changer les dollars américains (avec lesquels je me promène) justement prévus pour des cas comme celui là.
Nous ne nous attardons pas, le temps tout de même de bien profiter des petits restos au bord du lac pour manger une bonne truite.
Arrivée le lendemain sur la Isla del Sol, une magnifique île sur le lac Titicaca. On sent l’influence touristique. Nous y resterons deux nuits, une au sud et l’autre au nord qui est presque épargné des nombreuses auberges de jeunesse et autres logements touristiques.
Nous marchons du nord au sud histoire de profiter de l’île de de visiter les ruines.
Puis retour à Copacabana pour une nuit avant de nous rendre dans la capitale économique, La Paz.
Ville frontalière qui n’a pas de distributeur d’argent, ce qui n’est pas pratique du tout, il est temps de changer les dollars américains (avec lesquels je me promène) justement prévus pour des cas comme celui là.
Nous ne nous attardons pas, le temps tout de même de bien profiter des petits restos au bord du lac pour manger une bonne truite.
Arrivée le lendemain sur la Isla del Sol, une magnifique île sur le lac Titicaca. On sent l’influence touristique. Nous y resterons deux nuits, une au sud et l’autre au nord qui est presque épargné des nombreuses auberges de jeunesse et autres logements touristiques.
Nous marchons du nord au sud histoire de profiter de l’île de de visiter les ruines.
Puis retour à Copacabana pour une nuit avant de nous rendre dans la capitale économique, La Paz.
Puno
C’est avec Puno que l’on finit notre passage par le Pérou. Ville agréable mais très froide située au bord du lac Titicaca. Un programme tranquille de balades, tant dans la ville que sur le lac en pédalo.
HK, un autre couple d’anglais que nous avons rencontrés durant le trek du canyon del Colca nous rejoindra ici.
Ensemble, tous les 5, CKHK et moi, traversons la frontière en direction de la Bolivie.
HK, un autre couple d’anglais que nous avons rencontrés durant le trek du canyon del Colca nous rejoindra ici.
Ensemble, tous les 5, CKHK et moi, traversons la frontière en direction de la Bolivie.
lundi 14 septembre 2009
Toujours deux sans trois... Arequipa
Arrivée bien matinale à Arequipa après une autre nuit dans le bus. Le temps de trouver une super auberge dans une maison coloniale juste à coté de la plaza de armas pour un prix imbattable je commence ma visite. Et par hasard je tombe sur EV, nous passons le reste de la journée à déambuler dans les rues marchés et différents quartiers.
Le temps de négocier un bon prix avec une agence nous partons le lendemain de bonne heure pour le canyon de Cotahuasi, le plus profond canyon du monde (3500 mètres environ au point le plus profond).
Le paysage en chemin est magnifique, nous nous arrêtons pour voir des pétroglyphe, puis pour marcher jusqu’à un lac d’altitude, nous croisons lamas et alpagas...
Finalement à quelques enclavures de Cotahuasi, la route est bloquée pour travaux, nous décidons donc de marcher jusqu’à l’auberge où nous passerons la nuit.
Réveil à l’aube le lendemain pour marcher jusqu’à la cascade de Sipia (150 mètres de haut) mais il n’est pas possible de voir le fond, le spectacle est grandiose tout comme la marche qui nous y a conduit.
C’est l’heure de nous séparer de nouveau, EV continue la marche dans le canyon jusqu’au village suivant (7h de plus) je retourne avec la camionette de l’agence pour la suite de la journée. Nous visitons villages et environs, et finissons par quelques heures dans des sources d’eau chaude.
Retour à Arequipa le lendemain (encore 12h de trajet).
Surprise (ou presque) CK (vous vous souvenez ?) m’attendent tranquillement à l’auberge. Super retrouvailles !
Nous passons la soirée à nous raconter nos anecdotes puis la journée du lendemain à nous promener dans les environs et à réserver un tour pour le canyon del Colca, le deuxième plus profond du monde.
Départ de nuit pour arriver au bon moment à la Cruz del Condor. Un mirador où les condors volent le matin. Majestueux oiseaux ! Nous continuons la route puis commençons à marcher après manger le midi.
Quelques heures de marche pour descendre dans le canyon. Il est beaucoup plus sec que le Cotahuasi, à voir les photos. Petite marche le lendemain jusqu’à Oasis. L’eau de la piscine est froide.
Réveil avant le lever du soleil le dernier jour pour remonter du canyon, 1100 mètres de dénivellé qui me prendront 1h55 à gravir...
Retour à Arequipa pour la soirée.
Petit-déjeuner au marché le lendemain qui se terminera par un jus de grenouille...
Et comme on dit "toujours deux sans trois" il n'y aura pas de troisième canyon !
Nous quittons Arequipa en début d’après midi pour Puno au bord du lac Titicaca.
Les photos arriverons un peu plus tard...
Le temps de négocier un bon prix avec une agence nous partons le lendemain de bonne heure pour le canyon de Cotahuasi, le plus profond canyon du monde (3500 mètres environ au point le plus profond).
Le paysage en chemin est magnifique, nous nous arrêtons pour voir des pétroglyphe, puis pour marcher jusqu’à un lac d’altitude, nous croisons lamas et alpagas...
Finalement à quelques enclavures de Cotahuasi, la route est bloquée pour travaux, nous décidons donc de marcher jusqu’à l’auberge où nous passerons la nuit.
Réveil à l’aube le lendemain pour marcher jusqu’à la cascade de Sipia (150 mètres de haut) mais il n’est pas possible de voir le fond, le spectacle est grandiose tout comme la marche qui nous y a conduit.
C’est l’heure de nous séparer de nouveau, EV continue la marche dans le canyon jusqu’au village suivant (7h de plus) je retourne avec la camionette de l’agence pour la suite de la journée. Nous visitons villages et environs, et finissons par quelques heures dans des sources d’eau chaude.
Retour à Arequipa le lendemain (encore 12h de trajet).
Surprise (ou presque) CK (vous vous souvenez ?) m’attendent tranquillement à l’auberge. Super retrouvailles !
Nous passons la soirée à nous raconter nos anecdotes puis la journée du lendemain à nous promener dans les environs et à réserver un tour pour le canyon del Colca, le deuxième plus profond du monde.
Départ de nuit pour arriver au bon moment à la Cruz del Condor. Un mirador où les condors volent le matin. Majestueux oiseaux ! Nous continuons la route puis commençons à marcher après manger le midi.
Quelques heures de marche pour descendre dans le canyon. Il est beaucoup plus sec que le Cotahuasi, à voir les photos. Petite marche le lendemain jusqu’à Oasis. L’eau de la piscine est froide.
Réveil avant le lever du soleil le dernier jour pour remonter du canyon, 1100 mètres de dénivellé qui me prendront 1h55 à gravir...
Retour à Arequipa pour la soirée.
Petit-déjeuner au marché le lendemain qui se terminera par un jus de grenouille...
Et comme on dit "toujours deux sans trois" il n'y aura pas de troisième canyon !
Nous quittons Arequipa en début d’après midi pour Puno au bord du lac Titicaca.
Les photos arriverons un peu plus tard...
dimanche 13 septembre 2009
Nazca
Etape suivante pour moi Nazca et ses célèbres lignes. La ville n’a pas grand chose de différent des autres villes de la côte, toutes basées sur le même shéma, la ville est construite autour de la plaza de armas.
Je rencontre EV (avec qui j’avais partagé le bateau pour l’île depuis Paracas) avec qui je vais voir les lignes de Nazca. Nous ne sommes pas dans le même avion, je suis dans un petit 4 places (en comptant le chauffeur). Superbe visibilité, impressionnant de voir toutes ces lignes au sol. Toujours aucune explication sur les origines mais de nombreuses théories une fois de plus. Le vol en lui même vaut bien plus que des montagnes russes de n’importe quel parc d’attraction,
Je rencontre EV (avec qui j’avais partagé le bateau pour l’île depuis Paracas) avec qui je vais voir les lignes de Nazca. Nous ne sommes pas dans le même avion, je suis dans un petit 4 places (en comptant le chauffeur). Superbe visibilité, impressionnant de voir toutes ces lignes au sol. Toujours aucune explication sur les origines mais de nombreuses théories une fois de plus. Le vol en lui même vaut bien plus que des montagnes russes de n’importe quel parc d’attraction,
samedi 12 septembre 2009
Paracas
Et c’est reparti pour moi sur les routes, seul. Direction Paracas, un peu plus au sud sur la côte. En bordure du parc national Paracas et de la Isla Ballestas, aussi appelée les Galapagos du pauvre, encore une (comme en Ecuador pour ceux qui suivent).
Au programme, visite de l’île et du parc.
L’île est réputé pour son guano qui est récolté tous les 7 ans pour ne pas trop perturber les milliers d’oiseaux qui y vivent, mais également pingouins, phoques et otaries.
Le parc est réputé pour ses falaises qui bordent ce grand désert. Il y a quelques flamands rose également.
Egalement un grand candélabre est visible depuis le large. Impossible de le dater ni de savoir ça véritable origine.
Au programme, visite de l’île et du parc.
L’île est réputé pour son guano qui est récolté tous les 7 ans pour ne pas trop perturber les milliers d’oiseaux qui y vivent, mais également pingouins, phoques et otaries.
Le parc est réputé pour ses falaises qui bordent ce grand désert. Il y a quelques flamands rose également.
Egalement un grand candélabre est visible depuis le large. Impossible de le dater ni de savoir ça véritable origine.
vendredi 11 septembre 2009
Lima
Et voilà un dernier bus pour retourner à Lima et c’est la fin des vacances pour ma soeur. Un programme bien chargé qui apparemment était à sa convenance.
De mon coté c’était bien plaisant de partager un peu mon quotidien avec elle, et elle de voir l’envers du décors des mots et photos que vous lisez.
Je me pose donc à Lima, l’accompagne à l’aéroport et je reprends mon chemin cette fois-ci vers le sud, pour découvrir d’autres trésors péruviens que nous n’avons pas pu voir durant ses vacances.
La route continue, ici ou ailleurs mais toujours là...
De mon coté c’était bien plaisant de partager un peu mon quotidien avec elle, et elle de voir l’envers du décors des mots et photos que vous lisez.
Je me pose donc à Lima, l’accompagne à l’aéroport et je reprends mon chemin cette fois-ci vers le sud, pour découvrir d’autres trésors péruviens que nous n’avons pas pu voir durant ses vacances.
La route continue, ici ou ailleurs mais toujours là...
Huaraz
Après une nouvelle nuit dans le bus nous arrivons à Huaraz. Pas évident de trouver une auberge qui à de la place, du coup on se pose dans un café pour boire un vrai chocolat au lait.
Nous trouvons finalement le bon endroit.
Et comme d’habitude nous commençons par visiter la ville, et cherchons des infos sur les excursions possibles dans la cordillière blanche. Après avoir été attiré par un excursion aux environs de 5000 mètres, mais apparemment sans rien de très formidable, nous préférons une petite promenade de 7h (aller retour) pour grimper à la laguna 69, après avoir passé d’autres lacs, aux environs de 4600 mètres d’altitude.
La marche est longue et ce n’est pas évident de trouver de l’oxygène, mais la récompense est grande. Un lac d’un bleu surprenant et des montagnes couvertes de neiges imposantes en guise de toile de fond.
Nous trouvons finalement le bon endroit.
Et comme d’habitude nous commençons par visiter la ville, et cherchons des infos sur les excursions possibles dans la cordillière blanche. Après avoir été attiré par un excursion aux environs de 5000 mètres, mais apparemment sans rien de très formidable, nous préférons une petite promenade de 7h (aller retour) pour grimper à la laguna 69, après avoir passé d’autres lacs, aux environs de 4600 mètres d’altitude.
La marche est longue et ce n’est pas évident de trouver de l’oxygène, mais la récompense est grande. Un lac d’un bleu surprenant et des montagnes couvertes de neiges imposantes en guise de toile de fond.
Trujillo et environs
De retour de Chachapoyas et en route pour Huaraz nous passons la journée à Trujillo, ville que je connais déjà un peu. Nous décidons de visiter les sites archéologiques environnants.
A commencer par le Huaco de la luna et del sol. Deux temples enfouis sous les sables, dont seul celui de la lune est en cours d’excavation. Construit par les Moches il y a bien longtemps (époque pré-colombienne) les vestiges sont en plutôt bon état parfois bien surprenants de couleurs.
Nous visitons ensuite un temple en route pour le site de ChanChan.
Chan-Chan est un des palais (en ruines) de la même époque. Ils servaient de lieu de vie pour les familles qui règnaient sur ce peuple. Chaque descendant construisait son propre palais, les plus grands sont ceux de l’apogée. ChanChan est plus petit car le déclin avait commencé.
On a l’impression de se trouver dans un immense château de sable.
Contrairement au Huaco de la luna, il y a ici un travail de restauration qui n’existe pas pour le temps de la Lune où la volonté de garder intact tout ce qui est découvert est primordial. Ici il y a un important travail de reconstruction.
Nous finirons notre promenade autour de Trujillo par la visite de Huanchaco, un village balnéaire, célèbre pour ses bateaux en roseaux.
A commencer par le Huaco de la luna et del sol. Deux temples enfouis sous les sables, dont seul celui de la lune est en cours d’excavation. Construit par les Moches il y a bien longtemps (époque pré-colombienne) les vestiges sont en plutôt bon état parfois bien surprenants de couleurs.
Nous visitons ensuite un temple en route pour le site de ChanChan.
Chan-Chan est un des palais (en ruines) de la même époque. Ils servaient de lieu de vie pour les familles qui règnaient sur ce peuple. Chaque descendant construisait son propre palais, les plus grands sont ceux de l’apogée. ChanChan est plus petit car le déclin avait commencé.
On a l’impression de se trouver dans un immense château de sable.
Contrairement au Huaco de la luna, il y a ici un travail de restauration qui n’existe pas pour le temps de la Lune où la volonté de garder intact tout ce qui est découvert est primordial. Ici il y a un important travail de reconstruction.
Nous finirons notre promenade autour de Trujillo par la visite de Huanchaco, un village balnéaire, célèbre pour ses bateaux en roseaux.
Chachapoyas
Chachapoyas, ancien carrefour routier entre la jungle et les montagnes est maintenant dépassé par la route nationale qui passe un peu plus loin.
Au programme, promenade et far niente.
Nous sortons un peu du centre pour monter sur les hauteurs alentours qui nous donnent une fois de plus un point de vue superbe sur les montagnes environnantes, et sur la ville.
Puis nous nous mêlons à la population pour manger des beignets de fromage le long du trottoir.
Journée bien reposante donc avant de repartir de plus belle pour la suite de notre périple.
Au programme, promenade et far niente.
Nous sortons un peu du centre pour monter sur les hauteurs alentours qui nous donnent une fois de plus un point de vue superbe sur les montagnes environnantes, et sur la ville.
Puis nous nous mêlons à la population pour manger des beignets de fromage le long du trottoir.
Journée bien reposante donc avant de repartir de plus belle pour la suite de notre périple.
Tingo - Kuelap
Nous arrivons avant le lever du soleil à Chachapoyas, petite marche histoire de se repérer et nous prenons un taxi collectif jusqu’à Tingo, un petit village un peu plus bas.
Petit village fort agréable, environ une seule rue le long de la rivière, nous nous rendons dans une des deux auberges, la plus locale avec un accueil bien chaleureux de la famille qui s’en occupe.
Une petite sieste, car les nuits en bus ne sont pas très très reposante, et nous nous promenons ici et là.
Le lendemain, après un bon petit déjeuner, nous attaquons les 1200 mètres de dénivellé pour atteindre la forteresse de Kuelap, perchée en haut de la montagne.
Apparemment un des derniers postes Chachapoyas avant l’invasion des Incas.
La montée est longue 3h30 mais largement récompensée.
Des ruines impressionantes, des murs gigantesques, n’oublions pas qu’il a fallu monter les pierres (à 3000 mètres d’altitude). Des vestiges que nous prenons grand plaisir à parcourir sans croiser plus de 10 touristes (la plupart étant péruviens).
La végétation est très présente et les orchidées sont nombreuses sur les arbres, on sent bien la proximité avec la jungle amazonienne. Nous sommes d’ailleurs dans la région nommée Amazonas.
Contrairement aux Incas les Chachapoyas avaient des maisons circulaires comme les photos le montrent bien.
On remarquera aussi le système de défense très intelligent. Seulement trois entrées dans la forteresse toute sur le même principe visant à faire entrer les personnes les unes derrière les autres.
Petit village fort agréable, environ une seule rue le long de la rivière, nous nous rendons dans une des deux auberges, la plus locale avec un accueil bien chaleureux de la famille qui s’en occupe.
Une petite sieste, car les nuits en bus ne sont pas très très reposante, et nous nous promenons ici et là.
Le lendemain, après un bon petit déjeuner, nous attaquons les 1200 mètres de dénivellé pour atteindre la forteresse de Kuelap, perchée en haut de la montagne.
Apparemment un des derniers postes Chachapoyas avant l’invasion des Incas.
La montée est longue 3h30 mais largement récompensée.
Des ruines impressionantes, des murs gigantesques, n’oublions pas qu’il a fallu monter les pierres (à 3000 mètres d’altitude). Des vestiges que nous prenons grand plaisir à parcourir sans croiser plus de 10 touristes (la plupart étant péruviens).
La végétation est très présente et les orchidées sont nombreuses sur les arbres, on sent bien la proximité avec la jungle amazonienne. Nous sommes d’ailleurs dans la région nommée Amazonas.
Contrairement aux Incas les Chachapoyas avaient des maisons circulaires comme les photos le montrent bien.
On remarquera aussi le système de défense très intelligent. Seulement trois entrées dans la forteresse toute sur le même principe visant à faire entrer les personnes les unes derrière les autres.
Chiclayo
Les heures passées dans les bus ne comptant plus nous voici pour la journée à Chiclayo. Grande ville « cotière » au nord de Lima.
Nous arrivons en pleine manifestation / parade sur la place des armes. Nous continuons donc notre chemin en direction de marcher en tentant d’éviter la foule, mais ce n’est pas possible. Ca fourmille dans tous les sens, que ce soit dans les rues, ou dans les divers marchés.
Nous nous posons donc au calme pour manger avant de continuer notre promenade.
Petit passage par un parc assez particulier, qui dénote un peu du reste de la ville à vrai dire.
Puis finalement nous prenons notre bus pour Chachapoyas de l’autre coté de la cordillère des Andes, puis Tingo.
Nous arrivons en pleine manifestation / parade sur la place des armes. Nous continuons donc notre chemin en direction de marcher en tentant d’éviter la foule, mais ce n’est pas possible. Ca fourmille dans tous les sens, que ce soit dans les rues, ou dans les divers marchés.
Nous nous posons donc au calme pour manger avant de continuer notre promenade.
Petit passage par un parc assez particulier, qui dénote un peu du reste de la ville à vrai dire.
Puis finalement nous prenons notre bus pour Chachapoyas de l’autre coté de la cordillère des Andes, puis Tingo.
Machu Picchu
Il est 3h30, le réveil sonne. Le temps de se réveiller, de sauter dans les vêtements, et de petit-déjeuner très rapidement, nous partons à 3h50 pour le Machu Picchu. Il nous faudra près d’1h30 pour arriver jusqu’à l’entrée, où une longue file d’attente est déjà formée. Bien sûr nous avons croisé plein de monde tout le long du chemin.
Pourquoi tant de monde de si bonne heure alors que le parc ouvre à 6h ? Tout simplement parce que seuls les 400 premiers à l’entrée du Wayna Picchu (de l’autre coté du parc) auront le plaisir d’y entrer.
Nous attendons tranquillement, puis à 6h les portes ouvrent, et nous marchons d’un pas rapide, comme tout le monde, jusqu’au Wayna Picchu, qui ouvre à 7h.
Emerveillement lors de la traversée du Machu, vide de touristes... seule une file de touristes perturbe le silence qui y règne.
Attente de nouveau, et nous passons la porte du Wayna peu après 7h. C’est encore près d’1h30 de marche qui nous mènera au sommet. Avec une vue magnifique sur les montagnes environnantes et le Machu en contre-bas bien sûr.
En descendant vers le Machu je rencontre ATS avec qui nous visiterons ces ruines si célèbres.
Il y a de plus en plus de touristes, mais c’est moins pire que ce que j’avais imaginé. Nous patientons juste de temps en temps que les groupes organisés passent leur chemin.
L’arrivée des nuages, de l’orage et de la pluie accélèrent la sortie des touristes. Pourtant ça ne durera que quelques minutes.
Nous finissons donc tranquillement notre promenade au milieu de ces vestiges qui retournent doucement au repos après une journée de visites... jusqu’au lendemain.
De superbes souvenirs, à apprécier encore et encore !
Comme ça en vrac, quelques uns : La vue du Machu depuis le Wayna ; la descente du Wayna ; les diverses attentes pour trouver le bon angle pour prendre une photo sans touristes, les imbrications de pierres plus surprenantes les unes que les autres ; les courses de lamas ; les escaliers encore et encore ; les fenêtres ; les détours ; les retours ; le soleil ; le paysage ; etc.
Il est l’heure de redescendre, petite pause pour manger en sortant du parc. Puis retour à Aguas Calientes, nous passerons la soirée ensembles avant de retourner à Cuzco le lendemain, une fois de plus par le chemin des écoliers.
Pourquoi tant de monde de si bonne heure alors que le parc ouvre à 6h ? Tout simplement parce que seuls les 400 premiers à l’entrée du Wayna Picchu (de l’autre coté du parc) auront le plaisir d’y entrer.
Nous attendons tranquillement, puis à 6h les portes ouvrent, et nous marchons d’un pas rapide, comme tout le monde, jusqu’au Wayna Picchu, qui ouvre à 7h.
Emerveillement lors de la traversée du Machu, vide de touristes... seule une file de touristes perturbe le silence qui y règne.
Attente de nouveau, et nous passons la porte du Wayna peu après 7h. C’est encore près d’1h30 de marche qui nous mènera au sommet. Avec une vue magnifique sur les montagnes environnantes et le Machu en contre-bas bien sûr.
En descendant vers le Machu je rencontre ATS avec qui nous visiterons ces ruines si célèbres.
Il y a de plus en plus de touristes, mais c’est moins pire que ce que j’avais imaginé. Nous patientons juste de temps en temps que les groupes organisés passent leur chemin.
L’arrivée des nuages, de l’orage et de la pluie accélèrent la sortie des touristes. Pourtant ça ne durera que quelques minutes.
Nous finissons donc tranquillement notre promenade au milieu de ces vestiges qui retournent doucement au repos après une journée de visites... jusqu’au lendemain.
De superbes souvenirs, à apprécier encore et encore !
Comme ça en vrac, quelques uns : La vue du Machu depuis le Wayna ; la descente du Wayna ; les diverses attentes pour trouver le bon angle pour prendre une photo sans touristes, les imbrications de pierres plus surprenantes les unes que les autres ; les courses de lamas ; les escaliers encore et encore ; les fenêtres ; les détours ; les retours ; le soleil ; le paysage ; etc.
Il est l’heure de redescendre, petite pause pour manger en sortant du parc. Puis retour à Aguas Calientes, nous passerons la soirée ensembles avant de retourner à Cuzco le lendemain, une fois de plus par le chemin des écoliers.
Aguas Calientes
Départ matinal de Cuzco pour Aguas Calientes par le chemin des écoliers et aussi le moins cher (en train il faut compter environ 40 euros, notre détour nous coutera moins de 5 euros). Départ prévu à 8h, nous partons finalement à 9h, pour 4 heures de trajet qui se transformeront en 5 heures. De Santa Maria nous prenons un mini bus pour Santa Teresa pour environ 1h. De là c’est un autre mini bus qui nous amènera à Hidroelectrica, la fin de la route et également le point de départ du train qui va jusqu’à Cuzco en passant par Aguas Calientes. Nous finissons le chemin à pieds en suivant les rails pour 10 km.
Nous finissons le trajet à la lampe de poche et nous sommes bien évidemment accueillis par les hostels qui nous proposent leurs chambres.
Petit dîner avant de se coucher pour un réveil quelques heures plus tard pour le Machu Picchu.
Nous finissons le trajet à la lampe de poche et nous sommes bien évidemment accueillis par les hostels qui nous proposent leurs chambres.
Petit dîner avant de se coucher pour un réveil quelques heures plus tard pour le Machu Picchu.
Cuzco
C’est après 24 heures de bus que nous arrivons à Cuzco, surprenante ville perchée dans les montagnes. Comme dans le centre de Lima, la colonisation a laissé des traces. La ville est très sympathique, il y a beaucoup de touristes partout, n’oublions pas que nous sommes en plein mois d’août.
Le marché est très vivant et coloré.
Balades au fil des rues, pause pour manger dans un restau sans touriste. Nous finissons la journée en allant jusqu’au terminal de bus pour réserver nos billets de bus pour Santa Maria.
Le marché est très vivant et coloré.
Balades au fil des rues, pause pour manger dans un restau sans touriste. Nous finissons la journée en allant jusqu’au terminal de bus pour réserver nos billets de bus pour Santa Maria.
Lima
C’est en bus locaux que je me rends à l’aéroport pour une arrivée bien matinale. Avion en avance, à peine arrivé, déjà repartis, cette fois en taxi, pour 12 fois le prix des bus de l’aller, mais un peu de temps de gagné.
Le temps de poser les sacs dans l’auberge et nous ne perdons pas de temps pour nous promener dans le quartier de Miraflores au sud de la ville, sur la côte. Quartier résidentiel et plutôt occidentalisé, nous le laissons rapidement au profit du centre ville qui est bien plus typique et vivant. Beaucoup de restes de la colonisation dans l’architecture, les édifices sont parfois bien imposants.
Descente du drapeau du bâtiment gouvernemental avant de retourner dans tranquillement dans nos quartiers pour la nuit avant de prendre la route le lendemain.
Le temps de poser les sacs dans l’auberge et nous ne perdons pas de temps pour nous promener dans le quartier de Miraflores au sud de la ville, sur la côte. Quartier résidentiel et plutôt occidentalisé, nous le laissons rapidement au profit du centre ville qui est bien plus typique et vivant. Beaucoup de restes de la colonisation dans l’architecture, les édifices sont parfois bien imposants.
Descente du drapeau du bâtiment gouvernemental avant de retourner dans tranquillement dans nos quartiers pour la nuit avant de prendre la route le lendemain.
Pérou
Bienvenue au Pérou, peu de temps devant moi il faut que j’aille jusqu’à Lima pour récupérer ma soeur à l’aéroport. En chemin je fais tout de même une pause à Trujillo, une ville marquée par la colonisation et assez agréable.
Et c’est parti pour Lima avec un autre bus.
Arrivée à Lima dans la soirée, recherche d’auberge et repos. Dans l’attente de ma soeur je profite de me trouver dans une grande ville pour visiter le supermarché et redécouvrir certains mets délicats dont mon palais avait oublié les saveurs. Jambon de pays, fromage etc... Sans oublier le cinéma. Petit retour plaisant dans la civilisation occidentale avant de replonger de nouveau dans les découvertes locales.
Et c’est parti pour Lima avec un autre bus.
Arrivée à Lima dans la soirée, recherche d’auberge et repos. Dans l’attente de ma soeur je profite de me trouver dans une grande ville pour visiter le supermarché et redécouvrir certains mets délicats dont mon palais avait oublié les saveurs. Jambon de pays, fromage etc... Sans oublier le cinéma. Petit retour plaisant dans la civilisation occidentale avant de replonger de nouveau dans les découvertes locales.
dimanche 16 août 2009
La Sierra
Me voici donc seul sur la route vers le sud, mais je ne le resterai pas longtemps car je rencontre TD (deux suisses) dans le bus pour Latacunga, nous rendant le lendemain au marché de Saquisili, assez célèbre mais beaucoup moins touristique que celui d’Otovalo dans le nord. L’occasion de gouter au plat traditionnel : le Cui rôti. Rien de bien spécial.
Je prends ensuite la route seul pour Riobamba puis Cuenca.
J’y rencontre RL (deux suisses également) avec lesquels je visite cette magnifique ville, un mélange de style très agréable. Nous nous rendons également au parc Cajas pour aller marcher un peu en altitude. Le paysage est magnifique, on a l’impression qu’il sagit de collines avec plein de petits lacs au milieu. Et pourtant nous sommes aux environs de 4000 mètres d’altitude. Nous grimpons donc une petite colline à plus de 4250 mètres. Eh bien, on est pas monté vite.
De retour à Cuenca, nous retrouvons TD par hasard.
Alors que RL prennent la route de Puerto Lopez je continue ma descente avec TD pour Vilcabamba au sud du pays. Un petit village de tout repos au milieu des montagnes. Balades et far niente au programme, nous irons tout de même nous tremper dans une petite rivière très fraiche.
Finalement je ne continuerai pas de descendre comme je l’avais prévu, je remonte à Loja pour prendre un bus direct pour le Pérou, facilité mais surtout gain de temps.
Promenade dans la journée en attendant le bus de nuit, ce sera ma dernière étape avant le Pérou.
Je prends ensuite la route seul pour Riobamba puis Cuenca.
J’y rencontre RL (deux suisses également) avec lesquels je visite cette magnifique ville, un mélange de style très agréable. Nous nous rendons également au parc Cajas pour aller marcher un peu en altitude. Le paysage est magnifique, on a l’impression qu’il sagit de collines avec plein de petits lacs au milieu. Et pourtant nous sommes aux environs de 4000 mètres d’altitude. Nous grimpons donc une petite colline à plus de 4250 mètres. Eh bien, on est pas monté vite.
De retour à Cuenca, nous retrouvons TD par hasard.
Alors que RL prennent la route de Puerto Lopez je continue ma descente avec TD pour Vilcabamba au sud du pays. Un petit village de tout repos au milieu des montagnes. Balades et far niente au programme, nous irons tout de même nous tremper dans une petite rivière très fraiche.
Finalement je ne continuerai pas de descendre comme je l’avais prévu, je remonte à Loja pour prendre un bus direct pour le Pérou, facilité mais surtout gain de temps.
Promenade dans la journée en attendant le bus de nuit, ce sera ma dernière étape avant le Pérou.
Quito
De retour à Quito, nos chemins avec CK se séparent une nouvelle fois, ils partent pour la Colombie alors que je prendrai la route des montagnes vers le sud.
Avant ça dernière promenade dans Quito avec en point d’honneur la visite de la catedrale del voto nacional, qui est une cathédrale de style gothique. Il est possible de grimper sous les toits et dans les tours ce qui fait mon plus grand bonheur.
Petite remarque spéciale pour les gargouilles qui ne sont pas du même style que celle que l’on peut trouver en Europe.
La balade est agréable, les vues sur la ville sont saisissantes.
Avant ça dernière promenade dans Quito avec en point d’honneur la visite de la catedrale del voto nacional, qui est une cathédrale de style gothique. Il est possible de grimper sous les toits et dans les tours ce qui fait mon plus grand bonheur.
Petite remarque spéciale pour les gargouilles qui ne sont pas du même style que celle que l’on peut trouver en Europe.
La balade est agréable, les vues sur la ville sont saisissantes.
Côte pacifique
C’est la direction de la cote pacifique que nous prenons après car nous avons la chance d’être au bon moment de l’année où les baleines passent au large. Nous nous posons donc à Puerto Lopez puis pouvoir aller et venir plus facilement.
Petite promenade pour observer les baleines depuis Puerto Cayo, petite marche dans le parc pour aller à la plage Los Frailes...
Et la petite cerise sur le gateau, un balade juste qu’à l’île de la Plata, surnommée également les Galapagos du pauvre, où il est possible d’observer les bubbies à pattes bleues, ou rouges, des frégates, des albatros, etc, en quelques heures de marche !!!
Bien sûr nous profitons de la ville et de la plage où les pêcheurs déchargent quotidiennement des amas de poissons, avec une majorité de thons. Nous repartons donc un matin avec un thon entier d’environ 3kg, sashimis, papillotes et salade pour agrémenter nos repas.
Petite promenade pour observer les baleines depuis Puerto Cayo, petite marche dans le parc pour aller à la plage Los Frailes...
Et la petite cerise sur le gateau, un balade juste qu’à l’île de la Plata, surnommée également les Galapagos du pauvre, où il est possible d’observer les bubbies à pattes bleues, ou rouges, des frégates, des albatros, etc, en quelques heures de marche !!!
Bien sûr nous profitons de la ville et de la plage où les pêcheurs déchargent quotidiennement des amas de poissons, avec une majorité de thons. Nous repartons donc un matin avec un thon entier d’environ 3kg, sashimis, papillotes et salade pour agrémenter nos repas.
Ligne de l'équateur
De retour à Quito nous passons l’après-midi sur la ligne de l’équateur. Eh oui ce pays ne s’appelle pas comme ça au hasard. C’est là qu’ont été faites les premières mesures avec les moyens de l’époque.
Et on peut dire qu’ils étaient très doués car ils ne se sont trompés que de quelques mètres. Résultat, l’édifice n’est pas exactement sur l’équateur, mais c’est pas bien grave. Il faut aller un peu plus loin pour marcher sur la véritable ligne calculée par GPS.
Et enfin je peux répondre à la question pour l’avoir essayé de mes mains. Si l’eau s’écoule en tournant dans un sens opposé dans un évier dans l’hémisphère Sud que dans l’hémisphère Nord, que fait-elle sur la ligne de l’équateur ? Eh bien, elle ne tourne pas, elle tombe ! Il ne faut pas s’éloigner beaucoup de la ligne pour voir le changement, c’est assez impressionnant, et si il y a trucage, ben je suis tombé dedans, parce que j’ai rien vu.
Et on peut dire qu’ils étaient très doués car ils ne se sont trompés que de quelques mètres. Résultat, l’édifice n’est pas exactement sur l’équateur, mais c’est pas bien grave. Il faut aller un peu plus loin pour marcher sur la véritable ligne calculée par GPS.
Et enfin je peux répondre à la question pour l’avoir essayé de mes mains. Si l’eau s’écoule en tournant dans un sens opposé dans un évier dans l’hémisphère Sud que dans l’hémisphère Nord, que fait-elle sur la ligne de l’équateur ? Eh bien, elle ne tourne pas, elle tombe ! Il ne faut pas s’éloigner beaucoup de la ligne pour voir le changement, c’est assez impressionnant, et si il y a trucage, ben je suis tombé dedans, parce que j’ai rien vu.
Ecuador - Coco
A peine arrivé à Quito en Equateur je retrouve CK et N leur amis à l’auberge, oui c’était prévu. La suite du programme l’est également, direction Coca aux portes de la jungle.
Nous cherchons un guide local pour éviter de nous retrouver dans un groupe touristique. Il nous faudra attendre un jour pour que le guide arrive, et nous voilà partis tous les 4 avec un pilote de bateau et un guide pour 5 jours dans la jungle.
Au programme trek dans la jungle en suivant le guide qui manie la machette avec dextérité. Promenade en caneau sur les rivières et lacs environants. Grimpées aux arbres, imiter Georges de la Jungle. Pêche de piranhas pour le dîner...
Observation des animaux, et plein de découvertes.
Comme ça en vrac, niveau faunes, plusieurs races de singes, fourmis, araignées, serpents, oiseaux, termites, guêpes, grenouilles... ; niveau flore, l’arbre du dragon, ceiba, figuier étrangleurs, nombreux différents palmiers...
Et bien sûr la pluie pour agrémenter le tout.
Logement assez proche du camping.
Rencontre avec les gens qui vivent dans la jungle, pour partager le repas après une partie de football déchainée dans la boue, suivie d’une partie de volley ball.
Bref, un séjour formidable que l’on n’est pas près d’oublier.
Nous cherchons un guide local pour éviter de nous retrouver dans un groupe touristique. Il nous faudra attendre un jour pour que le guide arrive, et nous voilà partis tous les 4 avec un pilote de bateau et un guide pour 5 jours dans la jungle.
Au programme trek dans la jungle en suivant le guide qui manie la machette avec dextérité. Promenade en caneau sur les rivières et lacs environants. Grimpées aux arbres, imiter Georges de la Jungle. Pêche de piranhas pour le dîner...
Observation des animaux, et plein de découvertes.
Comme ça en vrac, niveau faunes, plusieurs races de singes, fourmis, araignées, serpents, oiseaux, termites, guêpes, grenouilles... ; niveau flore, l’arbre du dragon, ceiba, figuier étrangleurs, nombreux différents palmiers...
Et bien sûr la pluie pour agrémenter le tout.
Logement assez proche du camping.
Rencontre avec les gens qui vivent dans la jungle, pour partager le repas après une partie de football déchainée dans la boue, suivie d’une partie de volley ball.
Bref, un séjour formidable que l’on n’est pas près d’oublier.
mardi 21 juillet 2009
San Blas
Ca fait un petit moment que l’on n’a pas vu l’atlantique du coup direction l’archipel des iles San Blas. Il y a en tout 365 iles ou ilots sur le territoire des Kuna, un peuple autonome.
Depart de très bonne heure le matin, en 4x4 car plus on se rapproche de la cote moins les routes sont bonnes, et c’est plus facile aussi pour traverser les rivières.
Arrivés au port nous attendons le bateau qui nous emmenera sur Pelikano, une des iles habitée. Le trajet est superbe, les iles nous entourent, l’eau est belle, et nous approchons de la fameuse Pelikano. Magnifique...
Nous sommes une dizaine de touristes sur l’ile, qui possède quelques bungalows.
Programme de far niente. Noix de coco à volonté, baignades encore et encore... Possibilité de nager aux iles environnante, ou de prendre un canaux en ramant avec des feuilles de palmiers...
On s’occupe comme on peut. Finalement avec CK on décide de faire un banc pour regarder le coucher de soleil. Nettoyage de la plage et c’est parti pour la construction, avec tout ce que l’on trouve.
Malheureusement les nuages sont de la partie et nous ne verront pas de magique coucher de soleil depuis notre banc.
Néanmoins nous quitterons l’ile avec un lever de soleil disons, coloré.
Depart de très bonne heure le matin, en 4x4 car plus on se rapproche de la cote moins les routes sont bonnes, et c’est plus facile aussi pour traverser les rivières.
Arrivés au port nous attendons le bateau qui nous emmenera sur Pelikano, une des iles habitée. Le trajet est superbe, les iles nous entourent, l’eau est belle, et nous approchons de la fameuse Pelikano. Magnifique...
Nous sommes une dizaine de touristes sur l’ile, qui possède quelques bungalows.
Programme de far niente. Noix de coco à volonté, baignades encore et encore... Possibilité de nager aux iles environnante, ou de prendre un canaux en ramant avec des feuilles de palmiers...
On s’occupe comme on peut. Finalement avec CK on décide de faire un banc pour regarder le coucher de soleil. Nettoyage de la plage et c’est parti pour la construction, avec tout ce que l’on trouve.
Malheureusement les nuages sont de la partie et nous ne verront pas de magique coucher de soleil depuis notre banc.
Néanmoins nous quitterons l’ile avec un lever de soleil disons, coloré.
Panama Ciudad
Après un long trajet en bus nous voici arrivés à Panama Ciudad.
Nous posons nos sacs dans une auberge de jeunesse et partons à la découverte de la ville directement pour une petite promenade qui se transformera en longue marche sous le soleil.
La ville est impressionante, les tours nombreuses, et les quartiers bien différents.
Nous logeons à Casco Viejo, le deuxième vieux quartier de la ville.
J’apprécie beaucoup le quartier qui se trouve pas très loin, très animé, marchands ambulants et tout ce que j’espérais trouver ici.
Retour à l’auberge bien fatigués, nous nous reposons.
Le lendemain, direction les écluses de Miraflores sur le canal de Panama.
En un mot : Impressionnant.
Petit défilé de bateaux, visite du musée fort intéressant, et visionnage de petits films qui font plutôt propagande publicitaire mais qui disent beaucoup.
Pour ceux qui ne savent pas, des travaux d’excavation ont déjà commencé depuis longtemps pour agrandir le canal. Il s’agit en fait de nouvelles écluses, plus grandes pour de plus grands bateaux, qui fonctionneront en parallèle des écluses existantes. Elles seront également plus économique en consommation d’eau.
A savoir que le fonctionnement par écluse est possible grâce aux fortes précipitations durant l’année pour réaprovisionner le lac.
Les nouvelles écluses seront inaugurées en 2014 pour le centenaire du canal.
Nous posons nos sacs dans une auberge de jeunesse et partons à la découverte de la ville directement pour une petite promenade qui se transformera en longue marche sous le soleil.
La ville est impressionante, les tours nombreuses, et les quartiers bien différents.
Nous logeons à Casco Viejo, le deuxième vieux quartier de la ville.
J’apprécie beaucoup le quartier qui se trouve pas très loin, très animé, marchands ambulants et tout ce que j’espérais trouver ici.
Retour à l’auberge bien fatigués, nous nous reposons.
Le lendemain, direction les écluses de Miraflores sur le canal de Panama.
En un mot : Impressionnant.
Petit défilé de bateaux, visite du musée fort intéressant, et visionnage de petits films qui font plutôt propagande publicitaire mais qui disent beaucoup.
Pour ceux qui ne savent pas, des travaux d’excavation ont déjà commencé depuis longtemps pour agrandir le canal. Il s’agit en fait de nouvelles écluses, plus grandes pour de plus grands bateaux, qui fonctionneront en parallèle des écluses existantes. Elles seront également plus économique en consommation d’eau.
A savoir que le fonctionnement par écluse est possible grâce aux fortes précipitations durant l’année pour réaprovisionner le lac.
Les nouvelles écluses seront inaugurées en 2014 pour le centenaire du canal.
Costa Rica
Après de nombreuses discussions avec plein de monde, lecture de guide, et visite del Castillo avec les prémices du canal transocéanique, je décide finalement de ne pas me promener au Costa Rica et d’aller au Panama pour voir le fameux canal, en compagnie de CK.
Nous partons donc de San Carlos, prenons un bateau jusqu’à Los Chiles, puis un deux bus nous conduiront à San José la capitale du Costa Rica où nous passerons la nuit.
Le trajet en bus nous donne une idée rapide du pays. Enormément de voitures de particuliers, les enseignes de fast food américains et les infrastructures nous plongent directement dans le bain d’un pays très « développé » et riche. Le trajet nous conforte dans notre idée de continuer la route vers le Panama.
Nous prenons donc le lendemain un bus pour Panama City, 15h de trajet.
Nous retiendrons entre autres du Costa Rica le restau Chinois qui nous a apporté d’autres saveurs que le riz poulet haricots classique.
Nous partons donc de San Carlos, prenons un bateau jusqu’à Los Chiles, puis un deux bus nous conduiront à San José la capitale du Costa Rica où nous passerons la nuit.
Le trajet en bus nous donne une idée rapide du pays. Enormément de voitures de particuliers, les enseignes de fast food américains et les infrastructures nous plongent directement dans le bain d’un pays très « développé » et riche. Le trajet nous conforte dans notre idée de continuer la route vers le Panama.
Nous prenons donc le lendemain un bus pour Panama City, 15h de trajet.
Nous retiendrons entre autres du Costa Rica le restau Chinois qui nous a apporté d’autres saveurs que le riz poulet haricots classique.
San Carlos / El Castillo
Rencontre programmée avec CK pour prendre le ferry de nuit entre Altagracia et San Carlos au sud du lac. Jeu de carte pour passer le temps avant de dormir, nous arrivons le matin à San Carlos où P. nous attends. (souvenirs encore, elle était avec nous sur Corn Islands et nous a proposé de nous faire visiter le coin où elle travaille en tant que volontaire).
Petite ville ou village fort agréable au bord du rio San Juan, la principale attraction pour les touristes étant le point d’entrée ou de sortie du Nicaragua avec le Costa Rica.
Nous visitons El Castillo, un fort qui a servi à l’époque des pirates des caraibes pour protéger le Nicaragua des invasions et vols à l’époque où le lien entre les deux océans ce faisait par le rio San Juan et le lac de Nicaragua la fin se faisant par la route pour rejoindre le pacifique.
Il y a eu beaucoup de projet de construire le canal ici, les travaux ayant même commencés, mais abandonné au profit du canal de Panama.
El castillo se trouve au niveau de rapides sur le rio qui lui donnent une position idéale pour un fort.
Retour à San Carlos, puis nous préparons la suite du voyage, en particulier passer la frontière avec le Costa Rica à Los Chile.
Petite ville ou village fort agréable au bord du rio San Juan, la principale attraction pour les touristes étant le point d’entrée ou de sortie du Nicaragua avec le Costa Rica.
Nous visitons El Castillo, un fort qui a servi à l’époque des pirates des caraibes pour protéger le Nicaragua des invasions et vols à l’époque où le lien entre les deux océans ce faisait par le rio San Juan et le lac de Nicaragua la fin se faisant par la route pour rejoindre le pacifique.
Il y a eu beaucoup de projet de construire le canal ici, les travaux ayant même commencés, mais abandonné au profit du canal de Panama.
El castillo se trouve au niveau de rapides sur le rio qui lui donnent une position idéale pour un fort.
Retour à San Carlos, puis nous préparons la suite du voyage, en particulier passer la frontière avec le Costa Rica à Los Chile.
Petit proverbe
« Quitte à se cuver, autant ne rien faire »
Après avoir mis en application ce proverbe ces derniers temps me voici de retour sur la toile pour rattraper le retard.
Quelques petits articles et photos pour aller avec.
Après avoir mis en application ce proverbe ces derniers temps me voici de retour sur la toile pour rattraper le retard.
Quelques petits articles et photos pour aller avec.
jeudi 18 juin 2009
Merci
Merci à tous pour vos messages chaque fois.
Si vous avez des questions particulières des envies d'en savoir plus sur certaines photos ou je ne sais pas quoi, n'hésitez pas, j'essaierai dans la mesure du possible de répondre !
La mise à jour du site n'est pas terrible en ce moment, mais je ne cours pas vraiment après les cyber cafés qui se font rares. Peut-être bientôt une mise à jour complète.
J'ai réparé le bug de la partie privée si yen a que ça intéresse de voir les photos en grand.
Si vous avez des questions particulières des envies d'en savoir plus sur certaines photos ou je ne sais pas quoi, n'hésitez pas, j'essaierai dans la mesure du possible de répondre !
La mise à jour du site n'est pas terrible en ce moment, mais je ne cours pas vraiment après les cyber cafés qui se font rares. Peut-être bientôt une mise à jour complète.
J'ai réparé le bug de la partie privée si yen a que ça intéresse de voir les photos en grand.
Islas de Omotepe
Depuis Granada il y a deux moyens de se rendre sur ces îles au milieu du lac de Nicaragua. Soit prendre un bateau direct qui part en début d’après-midi pour quelques heures de navigation ; soit prendre un bus jusqu’à Rivas puis un bateau pour traverser en 1h, ce qui nous permet d’arriver pour le repas du midi (déjeuner ou dîner comme vous voulez amis francophones).
Nous choisissons la deuxième option, et le trajet fût marqué par une connexion parfaite entre deux chicken bus au bord d’une route.
« descendez-ici, et attendez là le bus il va pas tarder » moins de deux minutes après le bus était là.
Arrivés à Mayogalpa, nous posons nos affaires dans l’auberge, avec un dortoir loin d’être d’une propreté irréprochable. Découverte de la ville, qui n’a rien de bien exceptionnelle. Super coucher de soleil pour terminer la journée.
Départ le lendemain pour la côte est de l’île, aux environs de Santa Cruz. Le bus nous dépose, nous marchons jusqu’à la ferme-auberge que nous avons remarqué dans le guide. En chemin nous nous arrêtons dans une auberge au bord du lac pour repérer les lieux. Nous continuons notre chemin qui s’avère long, montagneux, et très chaud avec le soleil qui tape. Nous arrivons finalement à destination après une superbe grimpette de la montagne, ça fait les jambes. Il n’y a plus de place en dortoir, les « chambres » ne sont pas terribles mais l’ambiance est fort sympathique à première vue. Néanmoins nous redescendons au premier endroit visité. J’en profite pour faire de l’exercice en portant le sac d’A. pour la descente.
Nous nous posons, sieste, far-niente, un plan parfait, au bord du lac, avec une belle vue sur le volcan Concepción qu’il ne me sera pas possible de grimper. Une prochaine fois peut-être.
Au lieu de 12 heures de randonnée, le programme consistera à nager, dormir, manger, discuter, etc. Très fatiguant pour une deuxième journée ici.
Nous ajoutons tout de même une promenade sous la pluie pour aller voir quelques petroglyphes et acheter du pain pour se faire des sandwiches.
Direction Altagracia le dernier jour pour prendre le ferry pour San Carlos, au sud du lac juste à coté de la frontière avec le Costa Rica.
Nous choisissons la deuxième option, et le trajet fût marqué par une connexion parfaite entre deux chicken bus au bord d’une route.
« descendez-ici, et attendez là le bus il va pas tarder » moins de deux minutes après le bus était là.
Arrivés à Mayogalpa, nous posons nos affaires dans l’auberge, avec un dortoir loin d’être d’une propreté irréprochable. Découverte de la ville, qui n’a rien de bien exceptionnelle. Super coucher de soleil pour terminer la journée.
Départ le lendemain pour la côte est de l’île, aux environs de Santa Cruz. Le bus nous dépose, nous marchons jusqu’à la ferme-auberge que nous avons remarqué dans le guide. En chemin nous nous arrêtons dans une auberge au bord du lac pour repérer les lieux. Nous continuons notre chemin qui s’avère long, montagneux, et très chaud avec le soleil qui tape. Nous arrivons finalement à destination après une superbe grimpette de la montagne, ça fait les jambes. Il n’y a plus de place en dortoir, les « chambres » ne sont pas terribles mais l’ambiance est fort sympathique à première vue. Néanmoins nous redescendons au premier endroit visité. J’en profite pour faire de l’exercice en portant le sac d’A. pour la descente.
Nous nous posons, sieste, far-niente, un plan parfait, au bord du lac, avec une belle vue sur le volcan Concepción qu’il ne me sera pas possible de grimper. Une prochaine fois peut-être.
Au lieu de 12 heures de randonnée, le programme consistera à nager, dormir, manger, discuter, etc. Très fatiguant pour une deuxième journée ici.
Nous ajoutons tout de même une promenade sous la pluie pour aller voir quelques petroglyphes et acheter du pain pour se faire des sandwiches.
Direction Altagracia le dernier jour pour prendre le ferry pour San Carlos, au sud du lac juste à coté de la frontière avec le Costa Rica.
Granada
Le trajet de Masaya à Granada n’a pas duré bien longtemps quelques kilomètres seulement.
Du terminal de bus il nous a fallu 5 min pour arriver à l’auberge qui se trouve de l’autre coté du bloc, juste à coté du marché. Parfait pour faire les courses pour cuisiner.
Granada est une grande ville parsemée d’églises très colorées. Et non loin du parc central une grande cathédrale, qui apparemment est la plus ancienne en Amérique centrale malgré sa couleur flashie.
Nous (A. et moi) parcourons la ville sans nous presser, découvrant les différents visages. Belle vue sur les volcans, vue des toits depuis la tour d’une des églises. Histoire de prendre quelques photos d’un nouveau genre.
La ville est beaucoup plus touristique que Masaya, plus grande également.
Depuis le port nous avons une belle vue sur le volcan Concepción au milieu du lac de Nicaragua, notre prochaine étape.
La tournée des villes du nord se termine donc par Granada.
Du terminal de bus il nous a fallu 5 min pour arriver à l’auberge qui se trouve de l’autre coté du bloc, juste à coté du marché. Parfait pour faire les courses pour cuisiner.
Granada est une grande ville parsemée d’églises très colorées. Et non loin du parc central une grande cathédrale, qui apparemment est la plus ancienne en Amérique centrale malgré sa couleur flashie.
Nous (A. et moi) parcourons la ville sans nous presser, découvrant les différents visages. Belle vue sur les volcans, vue des toits depuis la tour d’une des églises. Histoire de prendre quelques photos d’un nouveau genre.
La ville est beaucoup plus touristique que Masaya, plus grande également.
Depuis le port nous avons une belle vue sur le volcan Concepción au milieu du lac de Nicaragua, notre prochaine étape.
La tournée des villes du nord se termine donc par Granada.
Masaya
Juste deux petits bus pour arriver à Masaya. Une petite marche pour arriver dans un petit hôtel... Petite pause puis petite promenade pour découvrir la ville.
Oui je sais ça fait beaucoup de petits, bon je continue.
Direction le parc central, puis le marché central qui est situé entre les murs d’un ancien chateau. Très agréable et très touristique aussi. Je le parcours tranquillement. Je continue mon chemin vers le marché local, qui est au bout de la rue. Beaucoup plus grand, beaucoup plus local, bien qu’il y ait aussi beaucoup de boutiques touristiques. Ma première impression a été « welcome in Chatuchak ». Je discute avec différents vendeurs, et en sortant du marché je tombe sur une vendeuse de chapeau ! je n’ai pas résisté.
De retour à l’hôtel je rencontre A. une anglaise qui voyage depuis une trentaine d’année, rien qu’à voir son sac à dos on le devine, couvert d’écussons des différents lieux qu’elle a visité. Nous discutons, et finalement nous allons ensemble au marché central pour écouter / voir un concert local. Mélange de musique moderne, et de danses traditionnelles, dans de superbes tenues (robes etc). La pluie se mêle à la fête.
Retour à l’hôtel, dodo.
Le lendemain, visite de la ville, en long large et travers, rencontre d’une famille qui travaille dans un cirque, quelques photos, passage dans une boulangerie, autre séance photos. Nous retournons dans le centre et faisons imprimer quelques photos pour les apporter à la famille du cirque et à la boulangerie. Tous étaient très contents !
Nous terminons de visiter la ville avec quelques photos « mexicaines ».
Oui je sais ça fait beaucoup de petits, bon je continue.
Direction le parc central, puis le marché central qui est situé entre les murs d’un ancien chateau. Très agréable et très touristique aussi. Je le parcours tranquillement. Je continue mon chemin vers le marché local, qui est au bout de la rue. Beaucoup plus grand, beaucoup plus local, bien qu’il y ait aussi beaucoup de boutiques touristiques. Ma première impression a été « welcome in Chatuchak ». Je discute avec différents vendeurs, et en sortant du marché je tombe sur une vendeuse de chapeau ! je n’ai pas résisté.
De retour à l’hôtel je rencontre A. une anglaise qui voyage depuis une trentaine d’année, rien qu’à voir son sac à dos on le devine, couvert d’écussons des différents lieux qu’elle a visité. Nous discutons, et finalement nous allons ensemble au marché central pour écouter / voir un concert local. Mélange de musique moderne, et de danses traditionnelles, dans de superbes tenues (robes etc). La pluie se mêle à la fête.
Retour à l’hôtel, dodo.
Le lendemain, visite de la ville, en long large et travers, rencontre d’une famille qui travaille dans un cirque, quelques photos, passage dans une boulangerie, autre séance photos. Nous retournons dans le centre et faisons imprimer quelques photos pour les apporter à la famille du cirque et à la boulangerie. Tous étaient très contents !
Nous terminons de visiter la ville avec quelques photos « mexicaines ».
mardi 16 juin 2009
Nord Ouest Nicaragua
Hello,
pas beaucoup de temps pour mettre à jour complètement le site, juste quelques photos en ligne pour faire patienter avec quelques articles.....
...et un nouveau questionnaire !!!
pas beaucoup de temps pour mettre à jour complètement le site, juste quelques photos en ligne pour faire patienter avec quelques articles.....
...et un nouveau questionnaire !!!
León
León est une grande ville, assez accueillante. Ca fait tout de même très bizarre de se retrouver dans une ville avec des rues, des feux de signalisation, du modernisme... après tout ce temps passé hors des grands sentiers touristiques.
Je visite la visite, seul, ou avec M. un anglais. Beaucoup de publicités peintes sur les murs !
De León, nous sommes allés à Las Piñetas, une plage de la cote pacifique. L'eau n'est pas aussi bleu que de l'autre coté, l'eau est assez chaude, il y a beaucoup de vagues (pas étonnant qu'il y ait des surfeurs) et le courant est assez fort.
J'ai bien apprécié mon passage à León, et ce retour dans la ville me laisse un peu ... je trouve pas le mot... tant pis...
Je visite la visite, seul, ou avec M. un anglais. Beaucoup de publicités peintes sur les murs !
De León, nous sommes allés à Las Piñetas, une plage de la cote pacifique. L'eau n'est pas aussi bleu que de l'autre coté, l'eau est assez chaude, il y a beaucoup de vagues (pas étonnant qu'il y ait des surfeurs) et le courant est assez fort.
J'ai bien apprécié mon passage à León, et ce retour dans la ville me laisse un peu ... je trouve pas le mot... tant pis...
Little Corn Island – León
Encore un voyage à rallonge. On ne se lasse pas, ou presque...
Rencontre d’un couple d’anglais, de P. une allemande et d’une suisse avec qui je partage le trajet.
Départ des bungalows à 13h30 le dimanche, pour le bateau de 14h. Finalement le ferry de 15h est moins cher, petit retard habituel. Traversée jusqu’à big corn qui dure 1h environ.
Je retourne à l’auberge où j’ai dormi la première nuit pour récupérer mon gros sac que j'avais laissé pour voyager léger. Rendez-vous à 19h au restau avec tout le monde.
Soirée tranquille à jouer au carte avant de prendre le ferry pour Bluefields sur le continent à minuit (faut-il préciser le retard ?)
Traversée de nuit, sur le pont supérieur, pas évident de dormir, surtout quand il se met à pleuvoir mais on s'en sort très bien.
Arrivée à Bluefields, attente pour un autre petit bateau pour aller à El Rama d'où on prendra un bus pour Managua. P. change de bus en route, elle va vers le sud, à San Carlos, là où elle travaille.
De Managua je quitte le couple d'anglais dans le taxi en allant pour ma part à León...
Arrivée à León juste avant le coucher du soleil le lundi...
Encore un beau voyage !!!
Rencontre d’un couple d’anglais, de P. une allemande et d’une suisse avec qui je partage le trajet.
Départ des bungalows à 13h30 le dimanche, pour le bateau de 14h. Finalement le ferry de 15h est moins cher, petit retard habituel. Traversée jusqu’à big corn qui dure 1h environ.
Je retourne à l’auberge où j’ai dormi la première nuit pour récupérer mon gros sac que j'avais laissé pour voyager léger. Rendez-vous à 19h au restau avec tout le monde.
Soirée tranquille à jouer au carte avant de prendre le ferry pour Bluefields sur le continent à minuit (faut-il préciser le retard ?)
Traversée de nuit, sur le pont supérieur, pas évident de dormir, surtout quand il se met à pleuvoir mais on s'en sort très bien.
Arrivée à Bluefields, attente pour un autre petit bateau pour aller à El Rama d'où on prendra un bus pour Managua. P. change de bus en route, elle va vers le sud, à San Carlos, là où elle travaille.
De Managua je quitte le couple d'anglais dans le taxi en allant pour ma part à León...
Arrivée à León juste avant le coucher du soleil le lundi...
Encore un beau voyage !!!
Corn Islands
Après ce long trajet me voici donc sur big Corn Island de très bonne heure le matin, la vie se met en place tranquillement. En attendant l’ouverture de l’auberge, je me fais offrir le café dans la rue.
Je pause enfin mes affaires dans l’auberge et direct à la douche pour enlever le mélange fort agréable de poussière, sel, etc... Je discute avec J. un suisse qui va faire une tour sur Little Corn.
Pause pour manger puisque c’est parti pour la découverte de l’île. A commencer par une petite marche pour aller de l’autre coté de l’île louer un vélo pour en faire le tour plus facilement.
Il très agréable, routes pavées ou cimentées, plages sympathiques. Coté ouest plus calme que le coté est ou il y a quelques vagues.
Il me faudra tranquillement 3 heures pour ramener le vélo en prenant le temps de discuter et de prendre quelques photos. Je profite de la plage avant le coucher du soleil pour me baigner, et je rentre tranquillement à l’auberge.
Rien de tel qu’une bonne nuit !!!
Petites promenades le lendemain matin avant de partir pour little Corn Island.
Au moment de partir pour Little Corn, J. fait son sac pour y retourner, apparemment ça faut vraiment le coup. Nous y allons donc ensemble et discutons pas mal.
Little Corn fait environ 1.6 km² de superficie, il n’y a ni voiture, ni moto, encore moins de bus. Elle est parcourue de sentier de terre sauf le chemin principal est cimenté du coté du port et du village.
Calme et tranquilité au rendez-vous, plages agréables. Beaucoup d’algues du coté est. Au nord l’eau est très calme et les plages magnifiques. La barrière de corail est facilement accessible depuis la plage avec masque, tuba et palmes. Super pour aller voir les coraux et les poissons. Néanmoins avec un bateau on peut aller plus loin et nager parmi requins, raie, tortue, et de nombreux poissons au milieu de superbes coraux.
Durant les quelques jours sur cette petite île j’ai passé pas mal de temps avec Georgina et Max. Elle fait de délicieux pain au lait de coco et autres patisseries dans son chez elle sur la plage. Elle parcourt ensuite la plage pour les vendre.
Je connais les recettes maintenant, reste à savoir si je serai en mesure de les cuisiner.
Je pause enfin mes affaires dans l’auberge et direct à la douche pour enlever le mélange fort agréable de poussière, sel, etc... Je discute avec J. un suisse qui va faire une tour sur Little Corn.
Pause pour manger puisque c’est parti pour la découverte de l’île. A commencer par une petite marche pour aller de l’autre coté de l’île louer un vélo pour en faire le tour plus facilement.
Il très agréable, routes pavées ou cimentées, plages sympathiques. Coté ouest plus calme que le coté est ou il y a quelques vagues.
Il me faudra tranquillement 3 heures pour ramener le vélo en prenant le temps de discuter et de prendre quelques photos. Je profite de la plage avant le coucher du soleil pour me baigner, et je rentre tranquillement à l’auberge.
Rien de tel qu’une bonne nuit !!!
Petites promenades le lendemain matin avant de partir pour little Corn Island.
Au moment de partir pour Little Corn, J. fait son sac pour y retourner, apparemment ça faut vraiment le coup. Nous y allons donc ensemble et discutons pas mal.
Little Corn fait environ 1.6 km² de superficie, il n’y a ni voiture, ni moto, encore moins de bus. Elle est parcourue de sentier de terre sauf le chemin principal est cimenté du coté du port et du village.
Calme et tranquilité au rendez-vous, plages agréables. Beaucoup d’algues du coté est. Au nord l’eau est très calme et les plages magnifiques. La barrière de corail est facilement accessible depuis la plage avec masque, tuba et palmes. Super pour aller voir les coraux et les poissons. Néanmoins avec un bateau on peut aller plus loin et nager parmi requins, raie, tortue, et de nombreux poissons au milieu de superbes coraux.
Durant les quelques jours sur cette petite île j’ai passé pas mal de temps avec Georgina et Max. Elle fait de délicieux pain au lait de coco et autres patisseries dans son chez elle sur la plage. Elle parcourt ensuite la plage pour les vendre.
Je connais les recettes maintenant, reste à savoir si je serai en mesure de les cuisiner.
jeudi 4 juin 2009
En attendant...
Tout commença par une idée formidable ; entrer au Nicaragua en traversant la Moskitia et le département de Gracias a Dios, qui n'est qu'une vaste étendue quasi inhabitée de rivières et forêts ; (merci beaucoup R.), tout de suite envie et motivation étaient là. Il aura fallu quelques heures de recherches de renseignements quant à sa réalisabilité (oui j'invente j'invente). Discussions avec les gens, lecture de livre, navigation sur internet etc.
Je suis maintenant à la veille du départ, il est temps de réorganiser le sac à dos car ce qui m'attend ne devrait pas tellement (en fait pas de tout) ressembler à ce que j'ai pu voir les derniers jours sur Utila (vous vous souvenez, cette île qui fait partie des îles de la baie).
Je commence donc par vider le sac et faire le point avant de tout ranger... Tout d'abord le remplacement du petit sac à dos par un sac étanche, suivi du rangement des électroniques et autres nouvelles technologie dans des sacs ziploc...
...
Envie de lire la suite ???
...
Un peu de patience, il va arriver le carnet, prochainement...
...
mais les photos sont là ... en attendant !
Je suis maintenant à la veille du départ, il est temps de réorganiser le sac à dos car ce qui m'attend ne devrait pas tellement (en fait pas de tout) ressembler à ce que j'ai pu voir les derniers jours sur Utila (vous vous souvenez, cette île qui fait partie des îles de la baie).
Je commence donc par vider le sac et faire le point avant de tout ranger... Tout d'abord le remplacement du petit sac à dos par un sac étanche, suivi du rangement des électroniques et autres nouvelles technologie dans des sacs ziploc...
...
Envie de lire la suite ???
...
Un peu de patience, il va arriver le carnet, prochainement...
...
mais les photos sont là ... en attendant !
mercredi 3 juin 2009
100ème
He oui, je viens de m'amuser à compter les jours, et ça fait déjà 100 jours que je suis parti de France...
Le temps passe vite, j'apprécie tellement ce voyage que je le vois même plus défiler...
En tous cas j'espère vous avoir fait rêvé et voyagé un peu à mes cotés.
De mon coté, je n'ai pas envie de m'arrêter, alors...
...on the road again !!!!!
Le temps passe vite, j'apprécie tellement ce voyage que je le vois même plus défiler...
En tous cas j'espère vous avoir fait rêvé et voyagé un peu à mes cotés.
De mon coté, je n'ai pas envie de m'arrêter, alors...
...on the road again !!!!!
mardi 2 juin 2009
Gracias a dios
je suis sorti du Honduras avec plein de souvenirs en tête et un carnet qui s'en vient...
Un carnet sur cette magnifique région que j'ai traversée au Honduras !
Un peu de patience car je ne cours pas après les cybers cafés dans ce coin du monde !
Arrivé au Nicaragua aujourd'hui je continue mes aventures et vous dit à bientôt plus en détails...
Un carnet sur cette magnifique région que j'ai traversée au Honduras !
Un peu de patience car je ne cours pas après les cybers cafés dans ce coin du monde !
Arrivé au Nicaragua aujourd'hui je continue mes aventures et vous dit à bientôt plus en détails...
mercredi 27 mai 2009
Retour sur terre
Je suis de retour sur le continent, à La Ceiba.
Ce qui me permet de prendre le temps de mettre à jour le site internet en mots et photos...
Fini de me mêler aux touristes, je "reprends" mon voyage à la rencontre des populations locales, bien sûr je n'échapperai pas à quelques touristes, mais bon, en général quand on sort des sentiers, je les appelle d'avantage des voyageurs, si je peux me permettre de jouer sur les mots.
Je vous dis donc à bientôt pour d'autres aventures, qui devraient être un peu plus axées Nature.
Aussi bien l'endroit que l'envers...
Ce qui me permet de prendre le temps de mettre à jour le site internet en mots et photos...
Fini de me mêler aux touristes, je "reprends" mon voyage à la rencontre des populations locales, bien sûr je n'échapperai pas à quelques touristes, mais bon, en général quand on sort des sentiers, je les appelle d'avantage des voyageurs, si je peux me permettre de jouer sur les mots.
Je vous dis donc à bientôt pour d'autres aventures, qui devraient être un peu plus axées Nature.
Aussi bien l'endroit que l'envers...
Utila
Direction le port le matin pour prendre un petit bateau pour Utila, une heure sur les flots suffit pour arriver sur l'île.
Une rue principale où se succèdent les différents clubs de plongée, je me croirais presque à koh Tao.
Beaucoup de touristes, forcement, c'est le coin où il fait bon plonger, pour les petits budgets.
Petit tour rapide dans deux clubs sur les conseils d'amis, je choisirai celui qui a le plus beau terrain, sable, arbres, hamacs...
Entre quelques plongées, et balades sur l'île, je me repose, je rencontre d'autres touristes qui se baladent en Amérique centrale comme beaucoup de monde !!
Finalement je serai resté plus longtemps que j'aurais pensé, les plongées sont agréables, l'eau est chaude, et le farniente me convient bien.
Oserais-je dire, les premières vacances ?????
Une rue principale où se succèdent les différents clubs de plongée, je me croirais presque à koh Tao.
Beaucoup de touristes, forcement, c'est le coin où il fait bon plonger, pour les petits budgets.
Petit tour rapide dans deux clubs sur les conseils d'amis, je choisirai celui qui a le plus beau terrain, sable, arbres, hamacs...
Entre quelques plongées, et balades sur l'île, je me repose, je rencontre d'autres touristes qui se baladent en Amérique centrale comme beaucoup de monde !!
Finalement je serai resté plus longtemps que j'aurais pensé, les plongées sont agréables, l'eau est chaude, et le farniente me convient bien.
Oserais-je dire, les premières vacances ?????
La Ceiba
Je poursuis mon avancé sur la côte en direction de La Ceiba.
Ville portuaire et principal accès aux îles de la Baie.
La ville est grande, bruyante au premier abord et avec beaucoup de véhicules.
Arrivé dans le centre pour trouver le petit hotel que j'ai repéré dans le guide, je me retrouve sous le choc de ces enseignes qui rappelle l'influence américain (pour ne citer qu'elle).
Je pose mes affaires, dans cet hôtel juste au dessus d'une boulangerie.
Puis je me promène au fil des rues, la préparation du carnaval dans quelques jours se fait sentir, malgré tout je préfère quitter cette ville le lendemain pour Utila.
Une des îles de la baie.
Ville portuaire et principal accès aux îles de la Baie.
La ville est grande, bruyante au premier abord et avec beaucoup de véhicules.
Arrivé dans le centre pour trouver le petit hotel que j'ai repéré dans le guide, je me retrouve sous le choc de ces enseignes qui rappelle l'influence américain (pour ne citer qu'elle).
Je pose mes affaires, dans cet hôtel juste au dessus d'une boulangerie.
Puis je me promène au fil des rues, la préparation du carnaval dans quelques jours se fait sentir, malgré tout je préfère quitter cette ville le lendemain pour Utila.
Une des îles de la baie.
Tela
De Copan j'ai pris la direction de Tela, avec une escale à San Pedro Sula pour changer de bus. Contrairement aux autres voyage, je me retrouve cette fois dans un vrai car, bon oki un peu vieillot avec les sièges cassés. J'apprécie le changement.
Tela est une petite ville de la côte caraibéenne, donc la population est assez afro, d'origine africaine, de l'époque des colonies. La communauté s'appelle Garifuna.
Arrivé à Tela je me dirige vers ce petit hotel familial indiqué dans le guide, accueil chaleureux.
Je pose mes affaires et me dirige vers la plage, cette mer que je ne connais pas encore.
Elle est pas mal du tout, voyez les photos.
Sur les deux jours que je passe ici, j'ai le droit à beaucoup de pluie et de chaleur. Ca me rappelle la Thaïlande.
Le dernier soir, je retrouve J. que j'avais rencontré au début de mon séjour au Guatemala si vous suivez. C'est sa dernière étape avant de prendre son avion à San Pedro. On passe la soirée à discuter, du Guatemala, et de Utila, où elle a passé pas mal de temps. J'y serai dans pas longtemps.
Affaire à suivre donc
Tela est une petite ville de la côte caraibéenne, donc la population est assez afro, d'origine africaine, de l'époque des colonies. La communauté s'appelle Garifuna.
Arrivé à Tela je me dirige vers ce petit hotel familial indiqué dans le guide, accueil chaleureux.
Je pose mes affaires et me dirige vers la plage, cette mer que je ne connais pas encore.
Elle est pas mal du tout, voyez les photos.
Sur les deux jours que je passe ici, j'ai le droit à beaucoup de pluie et de chaleur. Ca me rappelle la Thaïlande.
Le dernier soir, je retrouve J. que j'avais rencontré au début de mon séjour au Guatemala si vous suivez. C'est sa dernière étape avant de prendre son avion à San Pedro. On passe la soirée à discuter, du Guatemala, et de Utila, où elle a passé pas mal de temps. J'y serai dans pas longtemps.
Affaire à suivre donc
Copan
Copan est une très jolie petite ville, on sent assez l'influence touristique néanmoins.
Cette influence est bien sûr due aux ruines Maya qui se trouve à la sortie de la ville. D'ailleurs le vrai nom de la ville est Copan Ruinas ! mais les ruines sont à l'extérieur.
Au programme, découverte de la ville (village) et promenade dans les alentours, le long de la rivière, rencontres et disons ma petite routine habituelle qui me plait bien !
Petit passage également pour aller voir quelques papillons ! il n'y en a pas beaucoup néanmoins l'accueil était très chaleureux.
Le lendemain, visite des ruines.
A la différence de Tikal, comme on le voit sur les photos, il n'y a pas tellement de grandeur. La qualité du site, est plutôt dans les détails et les sculptures, beaucoup de travail de précision à découvrir ici.
Le site est également beaucoup plus petit que Tikal.
Quelques petits animaux se promènent également, rampent, ou volent.
Une fois de plus j'arrive assez bien à éviter les touristes qui ne sont pas très nombreux malgré l'heure tardive à laquelle je m'y suis rendu pour profiter cette fois de la lumière du jour et du ciel bleu. Ca change de la brume de Tikal, et ça convient tout à fait à la visite du site.
Première étape bien agréable !
Cette influence est bien sûr due aux ruines Maya qui se trouve à la sortie de la ville. D'ailleurs le vrai nom de la ville est Copan Ruinas ! mais les ruines sont à l'extérieur.
Au programme, découverte de la ville (village) et promenade dans les alentours, le long de la rivière, rencontres et disons ma petite routine habituelle qui me plait bien !
Petit passage également pour aller voir quelques papillons ! il n'y en a pas beaucoup néanmoins l'accueil était très chaleureux.
Le lendemain, visite des ruines.
A la différence de Tikal, comme on le voit sur les photos, il n'y a pas tellement de grandeur. La qualité du site, est plutôt dans les détails et les sculptures, beaucoup de travail de précision à découvrir ici.
Le site est également beaucoup plus petit que Tikal.
Quelques petits animaux se promènent également, rampent, ou volent.
Une fois de plus j'arrive assez bien à éviter les touristes qui ne sont pas très nombreux malgré l'heure tardive à laquelle je m'y suis rendu pour profiter cette fois de la lumière du jour et du ciel bleu. Ca change de la brume de Tikal, et ça convient tout à fait à la visite du site.
Première étape bien agréable !
Honduras Bonjour !
Les formalités de passage de frontière se sont très bien passées, passage au bureau Guatemaltèque pour dire que je sors, puis passage au bureau Hondurien pour dire que j'arrive !
Encore quelques mètres à marcher, et me voilà sur le territoire du Honduras.
Je me dirige vers le bus qui attend, on s'entasse, et on se dirige vers Copan qui sera ma première étape à quelques kilomètres de la frontière seulement.
Encore quelques mètres à marcher, et me voilà sur le territoire du Honduras.
Je me dirige vers le bus qui attend, on s'entasse, et on se dirige vers Copan qui sera ma première étape à quelques kilomètres de la frontière seulement.
Au revoir Guatemala
Et voilà, mon séjour au Guatemala se termine,
De Lanquin, je prends un bus pour Coban, où je reste une nuit, et je me promène dans la ville encore une fois.
Départ matinal le lendemain pour Chiquimula, ma dernière étape avant de passer la frontière avec le Honduras.
La ville est agréable, le parc très grand, toujours autant de couleur, de gens sympathiques et de plaisir à arpenter les rues.
J'ai beaucoup apprécié mon séjour dans ce très beau pays, plein de richesses, de sourires, de rencontres, et tout ce qui va avec !!!!
De Chiquimula, je prends un bus pour la frontière... ça y est, le temps de changer les quelques Quetzales qui me restent.... je suis en zone internationale !!!
La suite depuis le Honduras !!!
De Lanquin, je prends un bus pour Coban, où je reste une nuit, et je me promène dans la ville encore une fois.
Départ matinal le lendemain pour Chiquimula, ma dernière étape avant de passer la frontière avec le Honduras.
La ville est agréable, le parc très grand, toujours autant de couleur, de gens sympathiques et de plaisir à arpenter les rues.
J'ai beaucoup apprécié mon séjour dans ce très beau pays, plein de richesses, de sourires, de rencontres, et tout ce qui va avec !!!!
De Chiquimula, je prends un bus pour la frontière... ça y est, le temps de changer les quelques Quetzales qui me restent.... je suis en zone internationale !!!
La suite depuis le Honduras !!!
jeudi 14 mai 2009
Lanquin
De Flores, je suis redescendu vers Lanquin, à l'Est de Coban, pour apprécier les montagnes, la rivière et le calme que l'on peut y trouver, d'après les personnes que j'ai rencontré à Flores.
Je choisi de descendre en moyens locaux et non avec la navette touristique... Super voyage dont vous avez le détail dans le carnet pour les plus curieux.
Lanquin est un petit village sympathique entre les montagnes avec une rivière, j'en profite donc pour me reposer tranquillement.
Malgré le fait que l'hotel auberge soit plein de touristes j'apprécie le cadre, sans pour autant aller découvrir les richesses alentours, un choix qui me plait quand je vois les minibus bien remplis défiler.
Je choisi de descendre en moyens locaux et non avec la navette touristique... Super voyage dont vous avez le détail dans le carnet pour les plus curieux.
Lanquin est un petit village sympathique entre les montagnes avec une rivière, j'en profite donc pour me reposer tranquillement.
Malgré le fait que l'hotel auberge soit plein de touristes j'apprécie le cadre, sans pour autant aller découvrir les richesses alentours, un choix qui me plait quand je vois les minibus bien remplis défiler.
Tikal
Partis de Flores avec dans l'idée de prendre un Chicken bus pour Tikal nous arrivons au terminal de bus. Il nous faut bien 5 min pour trouver le fameux bus public au milieu de tous ces gens qui veulent nous vendre leur navette touristique.
On se rendra compte de 2 différences principales entre les deux, 0.1 euros de plus pour la navette, et quelques personnes en moins dedans.
Je m'explique, la navette touristique est un mini van de 15 personnes, alors que le bus public est un mini van de 15 personnes dont la limite est théorique, tant que ça rentre ça rentre...
Résultat on était 36 dans ce mini van.
Arrivés à Tikal dans l'après-midi, nous avons en tête de camper la nuit pour pouvoir bénéficier des dernières heures d'ouverture du parc et des premières le matin.
On louera finalement des hamacs pour la nuit avec moustiquaire bien entendu.
Nous passons plusieurs heures dans le parc durant ces deux jours, parfois très brumeux le soir ou le matin, souvent pluvieux, et seulement du ciel bleu vers la fin.
Nous n'avons pas croisé beaucoup de touristes, quelques uns ici et là. Sauf au moment de sortir du parc, bien heureux en voyant cette trentaine ou quarantaine arriver.
Les ruines sont très belles, et il fait bon se promener dans la jungle.
Je ne suis pas très doué pour faire part des émotions que l'on peut ressentir, je vous laisse donc avec les quelques photos...
On se rendra compte de 2 différences principales entre les deux, 0.1 euros de plus pour la navette, et quelques personnes en moins dedans.
Je m'explique, la navette touristique est un mini van de 15 personnes, alors que le bus public est un mini van de 15 personnes dont la limite est théorique, tant que ça rentre ça rentre...
Résultat on était 36 dans ce mini van.
Arrivés à Tikal dans l'après-midi, nous avons en tête de camper la nuit pour pouvoir bénéficier des dernières heures d'ouverture du parc et des premières le matin.
On louera finalement des hamacs pour la nuit avec moustiquaire bien entendu.
Nous passons plusieurs heures dans le parc durant ces deux jours, parfois très brumeux le soir ou le matin, souvent pluvieux, et seulement du ciel bleu vers la fin.
Nous n'avons pas croisé beaucoup de touristes, quelques uns ici et là. Sauf au moment de sortir du parc, bien heureux en voyant cette trentaine ou quarantaine arriver.
Les ruines sont très belles, et il fait bon se promener dans la jungle.
Je ne suis pas très doué pour faire part des émotions que l'on peut ressentir, je vous laisse donc avec les quelques photos...
Flores
Une fois de plus un réveil matinal, cette fois-ci pour aller dans le Peten, cette région du Guatemala qui se trouve entre le Mexique et le Belize. Destination Flores.
Flores est une petite presque île accessible depuis Santa Elena au bord du Lac de Peten Itza.
Village touristique à en croire l'arche qui se trouve sur la route menant à Flores, ou encore le Burger King qui est le dernier bâtiment avant de quitter Santa Elena.
Auberge sympathique où je rencontre J. (une autre américaine) avec laquelle j'irai à Tikal.
Promenades, coucher de soleil, lever de soleil, tout ce qu'il faut pour se sentir bien.
Flores est une petite presque île accessible depuis Santa Elena au bord du Lac de Peten Itza.
Village touristique à en croire l'arche qui se trouve sur la route menant à Flores, ou encore le Burger King qui est le dernier bâtiment avant de quitter Santa Elena.
Auberge sympathique où je rencontre J. (une autre américaine) avec laquelle j'irai à Tikal.
Promenades, coucher de soleil, lever de soleil, tout ce qu'il faut pour se sentir bien.
samedi 9 mai 2009
Coban
Cette fois pas d'histoire de chicken bus, juste une histoire de réveil et de nuit.
Bercé par le chant des coqs voisins, la nuit fût très courte d'autant que le réveil était prévu à 4h30 pour prendre le bus de 5h, qui était un bus local, mais direct, sans changement.
Voyage moins long qu'avec de multiples changement, j'arrive finalement de bonne heure à Coban, où j'apprécie un bon café dans un jardin ombragé et fleuri.
Suivi par la visite d'une orchideraie, avec un jardinier fort sympathique.
Les nuages sont très bas, et donnent au ciel cette couleur si particulière qui m'amène à faire des essais photos.
Bercé par le chant des coqs voisins, la nuit fût très courte d'autant que le réveil était prévu à 4h30 pour prendre le bus de 5h, qui était un bus local, mais direct, sans changement.
Voyage moins long qu'avec de multiples changement, j'arrive finalement de bonne heure à Coban, où j'apprécie un bon café dans un jardin ombragé et fleuri.
Suivi par la visite d'une orchideraie, avec un jardinier fort sympathique.
Les nuages sont très bas, et donnent au ciel cette couleur si particulière qui m'amène à faire des essais photos.
De Huehue à Nebaj
Réveil matinal pour une autre journée en bus... Je prends le rythme, c'est agréable de parler avec les voisins de siège et tout et tout.
Première étape Aguacatan, petite promenade dans le marché le temps de prendre un petit déjeuner rapide, et c'est reparti pour Sacapulas où je déjeune (dîne pour nos amis belges, suisses, québécois) au bord de la route en attendant le bus suivant.
Le décors autour de la route est superbe, montagnes, vallées... La route en elle même n'est pas terrible, en terre, ou parfois même détournée pour glissement de terrains. Le temps de me remplir les yeux de beaux paysages, villages et de poussière me voilà à Nebaj.
Accueilli par un guide, qui c'est avéré très sympathique, je découvre la ville et les environs marqués par la guerre civile.
Petite promenade jusqu'à Las Cataratas, une cascade d'environ 20 mètres de haut, mais qui tombe d'une rivière digne d'une décharge...
Je finis la soirée avec la famille qui tient le petit hotel dans lequel je passe la nuit. Très sympathique, très bonne soirée, pleine de rire et de bonne humeur.
Première étape Aguacatan, petite promenade dans le marché le temps de prendre un petit déjeuner rapide, et c'est reparti pour Sacapulas où je déjeune (dîne pour nos amis belges, suisses, québécois) au bord de la route en attendant le bus suivant.
Le décors autour de la route est superbe, montagnes, vallées... La route en elle même n'est pas terrible, en terre, ou parfois même détournée pour glissement de terrains. Le temps de me remplir les yeux de beaux paysages, villages et de poussière me voilà à Nebaj.
Accueilli par un guide, qui c'est avéré très sympathique, je découvre la ville et les environs marqués par la guerre civile.
Petite promenade jusqu'à Las Cataratas, une cascade d'environ 20 mètres de haut, mais qui tombe d'une rivière digne d'une décharge...
Je finis la soirée avec la famille qui tient le petit hotel dans lequel je passe la nuit. Très sympathique, très bonne soirée, pleine de rire et de bonne humeur.
En route pour Huehue
Encore une histoire de bus, à prendre, à changer, et tout et tout.
Le temps parfois de faire quelques photos, comme à Solola, le temps d'un changement de bus.
Petit contre temps à Pana qui m'a fait y passer la nuit, je reprends la route le lendemain pour Huehe.
Arrivée à Huehue, découverte de la ville et de Zaculeu, un site maya non loin du centre. Il n'y avait pas grand monde.
Le centre-ville est assez typique, avec un parc central, une église, le bâtiment municipal avec ses arcades. Un schéma assez récurent finalement.
Le temps parfois de faire quelques photos, comme à Solola, le temps d'un changement de bus.
Petit contre temps à Pana qui m'a fait y passer la nuit, je reprends la route le lendemain pour Huehe.
Arrivée à Huehue, découverte de la ville et de Zaculeu, un site maya non loin du centre. Il n'y avait pas grand monde.
Le centre-ville est assez typique, avec un parc central, une église, le bâtiment municipal avec ses arcades. Un schéma assez récurent finalement.
mardi 5 mai 2009
Chichicastenango
C'est sous la pluie que nous arrivons à Chichicastenango, une vraie pluie tropicale, histoire d'être bien trempé le temps d'arriver dans un hôtel .... miteux... La pluie ne nous a pas aidé.
Une fois l'averse passée nous nous promenons dans les rues, et profitons de l'activité qui se trouve dans le centre et sur la place principale pour la préparation du grand marché du dimanche. Retour à l'hôtel de bonne heure (fermeture de l'entrée à 21h).
Le lendemain, de bonne heure nous nous dirigeons vers ce marché réputé pour être le plus grand du Guatemala.
L'ambiance est agréable, du moins comparable à celle d'un marché. Nous profitons des premières heures de la matinée avant que les navettes de touristes arrivent des grandes villes environnantes pour le marché.
Les prix sont exorbitants, difficile de se faire une idée des vrais prix quand on peut être abordé avec une offre jusqu'à 6 fois le prix (peut-être même plus).
Les couleurs sont superbes, les stands agréables, nous retrouvons ce mélange dans lequel nous baignons depuis quelques jours, costumes traditionnels (ou pas) nous sommes bien au Guatemala.
J'accompagne J. à son bus en début d'après midi, et je continue de me promener tranquillement jusqu'à la "fermeture" du marché, les prix sont plus raisonnables, mais toujours bien supérieurs au prix réel.
Diner local au pied de l'église à base de légumes, un peu comme le midi au milieu du marché (bien que l'on était installés sur un banc devant une planche).
Le chemin continue...
Une fois l'averse passée nous nous promenons dans les rues, et profitons de l'activité qui se trouve dans le centre et sur la place principale pour la préparation du grand marché du dimanche. Retour à l'hôtel de bonne heure (fermeture de l'entrée à 21h).
Le lendemain, de bonne heure nous nous dirigeons vers ce marché réputé pour être le plus grand du Guatemala.
L'ambiance est agréable, du moins comparable à celle d'un marché. Nous profitons des premières heures de la matinée avant que les navettes de touristes arrivent des grandes villes environnantes pour le marché.
Les prix sont exorbitants, difficile de se faire une idée des vrais prix quand on peut être abordé avec une offre jusqu'à 6 fois le prix (peut-être même plus).
Les couleurs sont superbes, les stands agréables, nous retrouvons ce mélange dans lequel nous baignons depuis quelques jours, costumes traditionnels (ou pas) nous sommes bien au Guatemala.
J'accompagne J. à son bus en début d'après midi, et je continue de me promener tranquillement jusqu'à la "fermeture" du marché, les prix sont plus raisonnables, mais toujours bien supérieurs au prix réel.
Diner local au pied de l'église à base de légumes, un peu comme le midi au milieu du marché (bien que l'on était installés sur un banc devant une planche).
Le chemin continue...
Lago de Attitlan
Après 5 bus différents, nous arrivons enfin à Panajachel, notre première étape... Il fait quasi nuit, le temps de poser les affaires, nous ne profitons pas du lac.
D'autres rencontres, nous amènent à nous diriger dans la matinée vers San Antonio et Santa Catarina sur les rives du lac.
Petit tour en Song Theaw (des restes de thai qui reviennent), un pick-up avec des bancs à l'arrière.
Nous marchons le reste du temps pour rejoindre ces villages, et revenir à Pana.
Nous nous arrêtons quelques temps au marché, et prenons la direction du bateau pour Santiago de Attitlan sur les conseils d'une rencontre à l'auberge.
Arrivés à Santiago, nous n'apprécions pas la ville à première vu, nous reprenons donc le bateau jusqu'à San Pedro un peu plus loin sur le lac, qui correspond à nos attentes.
Découverte de la ville, marché le lendemain matin pour manger fruits, et tostadas. Petite location de kayaks, et ballade sur le lac durant quelques heures, le temps d'apprécier le soleil et l'eau depuis une plage tranquille.
Nous profitons tranquillement de San Pedro le reste de la journée avant de prendre la route samedi matin pour Chichicastenango.
D'autres rencontres, nous amènent à nous diriger dans la matinée vers San Antonio et Santa Catarina sur les rives du lac.
Petit tour en Song Theaw (des restes de thai qui reviennent), un pick-up avec des bancs à l'arrière.
Nous marchons le reste du temps pour rejoindre ces villages, et revenir à Pana.
Nous nous arrêtons quelques temps au marché, et prenons la direction du bateau pour Santiago de Attitlan sur les conseils d'une rencontre à l'auberge.
Arrivés à Santiago, nous n'apprécions pas la ville à première vu, nous reprenons donc le bateau jusqu'à San Pedro un peu plus loin sur le lac, qui correspond à nos attentes.
Découverte de la ville, marché le lendemain matin pour manger fruits, et tostadas. Petite location de kayaks, et ballade sur le lac durant quelques heures, le temps d'apprécier le soleil et l'eau depuis une plage tranquille.
Nous profitons tranquillement de San Pedro le reste de la journée avant de prendre la route samedi matin pour Chichicastenango.
Arrivée au Guatemala
Et me voici de passage après une semaine au Guatemala.
Je vais essayer de ne pas être trop bavard.
Départ de Vancouver dans la matinée, direction Dallas aux Etats-Unis pour un changement d'avion, puis arrivée à Guatemala Ciudad (la capitale) dans la soirée.
Direction un taxi pour me rendre dans une auberge familiale non loin de l'aéroport. Famille accueillante, soirée tranquille pour me reposer du voyage et départ le lendemain matin pour Antigua en Chicken bus (anciens bus scolaires américains reconvertis).
Antigua, comme on peut le lire dans les guides, est très propre, et un peu utopique.
Promenade en ville, premières découvertes, et surtout confirmation de la veille : il faut que je travaille mon espagnol qui me fait défaut.
Rencontres dans le parc au centre de la ville, visite de ruines et balades pour ma première journée. Le soir rencontre de J., une voyageuse qui suit le même chemin que moi.
Le lendemain matin, réveil de bonne heure pour aller faire une petite rando sur le volcan Pacaya (qui est encore en activité).
Retour en ville, et direction Lago de Attitlan en chicken bus...
Je vais essayer de ne pas être trop bavard.
Départ de Vancouver dans la matinée, direction Dallas aux Etats-Unis pour un changement d'avion, puis arrivée à Guatemala Ciudad (la capitale) dans la soirée.
Direction un taxi pour me rendre dans une auberge familiale non loin de l'aéroport. Famille accueillante, soirée tranquille pour me reposer du voyage et départ le lendemain matin pour Antigua en Chicken bus (anciens bus scolaires américains reconvertis).
Antigua, comme on peut le lire dans les guides, est très propre, et un peu utopique.
Promenade en ville, premières découvertes, et surtout confirmation de la veille : il faut que je travaille mon espagnol qui me fait défaut.
Rencontres dans le parc au centre de la ville, visite de ruines et balades pour ma première journée. Le soir rencontre de J., une voyageuse qui suit le même chemin que moi.
Le lendemain matin, réveil de bonne heure pour aller faire une petite rando sur le volcan Pacaya (qui est encore en activité).
Retour en ville, et direction Lago de Attitlan en chicken bus...
lundi 27 avril 2009
Vancouver
Ca y est c'est fini, Vancouver était ma dernière étape après plus de 2 mois passés au Canada.
Quelques photos pour illustrer cette ville qui s'est construite très rapidement. Beaucoup de tours dans les différents quartiers et un très beau parc Stanley au nord ouest.
La météo était agréable, soleil et douceur (mais tout de même un peu frais à l'ombre en matinée ou soirée).
Je m'en vais maintenant vers de nouvelles latitudes, en direction du Guatemala. Je vous y retrouverai bientôt.
Quelques photos pour illustrer cette ville qui s'est construite très rapidement. Beaucoup de tours dans les différents quartiers et un très beau parc Stanley au nord ouest.
La météo était agréable, soleil et douceur (mais tout de même un peu frais à l'ombre en matinée ou soirée).
Je m'en vais maintenant vers de nouvelles latitudes, en direction du Guatemala. Je vous y retrouverai bientôt.
dimanche 26 avril 2009
NOUVELLE VERSION !
Depuis le temps que je voulais finir la nouvelle version, c'est chose faite !!!
(merci Bleneo)
L'apparition des rubriques Questionnaire et Privé va vous permettre de vous impliquer un peu plus (pensez à réactualiser les pages ou à vider le cache si vous avez des problèmes d'affichage).
Je vous laisse découvrir tranquillement
(merci Bleneo)
L'apparition des rubriques Questionnaire et Privé va vous permettre de vous impliquer un peu plus (pensez à réactualiser les pages ou à vider le cache si vous avez des problèmes d'affichage).
Je vous laisse découvrir tranquillement
Carnet Vancouver Island
Et voilà, le carnet est en ligne pour en savoir un peu plus sur mon passage sur l'île de Vancouver.
J'en ai profité pour rajouter les photos de Victoria également.
Je ne m'attarde pas plus ici, il y a beaucoup à lire dans le carnet (je suis bavard quand je veux).
J'en ai profité pour rajouter les photos de Victoria également.
Je ne m'attarde pas plus ici, il y a beaucoup à lire dans le carnet (je suis bavard quand je veux).
jeudi 23 avril 2009
Vancouver Island
Pour les plus impatients d'entre vous, voici les premières photos de l'île de Vancouver.
A venir : un petit carnet que je prendrai le temps de vous faire, un peu comme pour le traîneau à chiens !
En attendant je termine mon séjour sur l'île, je suis à Victoria.
A venir : un petit carnet que je prendrai le temps de vous faire, un peu comme pour le traîneau à chiens !
En attendant je termine mon séjour sur l'île, je suis à Victoria.
dimanche 19 avril 2009
Hope
Après ces quelques jour dans la vallée de l'Okanagan, me voici donc en route pour la cote Ouest, Vancouver, et l'île de Vancouver.
Et bien sûr je ne pouvais pas éviter Hope, cette jolie petite ville au milieu des montagnes, célèbre parait-il pour avoir été lieu de tournage de quelques films.
J'y ai retrouvé Cécile, une amie, pour une super après midi ! encore merci...
Et bien sûr je ne pouvais pas éviter Hope, cette jolie petite ville au milieu des montagnes, célèbre parait-il pour avoir été lieu de tournage de quelques films.
J'y ai retrouvé Cécile, une amie, pour une super après midi ! encore merci...
samedi 18 avril 2009
Vallée de l'Okanagan
Après ce petit tour dans les rocheuses, il est temps de redescendre dans la vallée et de changer encore une fois d'heure en entrant dans la plus à l'ouest des provinces, la Colombie Britanique.
Je me suis donc promené dans cette vallée de l'Okanagan, une rivière qui coulent avec plein de lacs au fil de son cours.
Première étape à Vernon, puis Kelowna, suivi de Penticton, et un passage à Oliver pour finir.
Cette vallée est réputée pour ses vergers et vignobles, il y a de très bons vins.
Malheureusement pour moi, c'était trop tôt dans la saison pour voir les arbres en fleur, et la météo était pas terrible non plus.
Quelques promenades ici et là, et quelques photos bien sûr.
Je me suis donc promené dans cette vallée de l'Okanagan, une rivière qui coulent avec plein de lacs au fil de son cours.
Première étape à Vernon, puis Kelowna, suivi de Penticton, et un passage à Oliver pour finir.
Cette vallée est réputée pour ses vergers et vignobles, il y a de très bons vins.
Malheureusement pour moi, c'était trop tôt dans la saison pour voir les arbres en fleur, et la météo était pas terrible non plus.
Quelques promenades ici et là, et quelques photos bien sûr.
Un petit oubli !
Je sais que ça fera sourire,
J'ai récupéré quelques photos d'un petite promenade en ski de fond.
Je vous en propose deux dans la section photos : lake louise.
Petite tentative de hors piste qui a fait redescendre bien mes prétentions d'avoir encore des souvenirs...
Quant à la deuxième, c'est une belle illustration qu'il ne faut pas avoir trop confiance en soi, en descente, quand il y a des virages, et que ça ne fait que quelques heures que l'on est sur des skis...
Pas de mal, juste des bons souvenirs !!!
J'ai récupéré quelques photos d'un petite promenade en ski de fond.
Je vous en propose deux dans la section photos : lake louise.
Petite tentative de hors piste qui a fait redescendre bien mes prétentions d'avoir encore des souvenirs...
Quant à la deuxième, c'est une belle illustration qu'il ne faut pas avoir trop confiance en soi, en descente, quand il y a des virages, et que ça ne fait que quelques heures que l'on est sur des skis...
Pas de mal, juste des bons souvenirs !!!
jeudi 9 avril 2009
Lake Louise
Dernière étape des rocheuses Canadienne, ayant abandonné l'idée de monter jusqu'à Jasper (ce sera pour une prochaine fois avec grand plaisir) me voici à Lake Louise, toujours dans le parc national de Banff.
Un havre de paix au milieu des montagnes, peu de monde (encore moins qu'à Banff), je peux dire que nous avons bien profité de la montagne et de l'air frais.
Promenades (des dizaines de kilomètres en 3 jours) donc une journée en ski de fond, vraiment un grand plaisir malgré la neige à tendance soupe en fin de journée, forcement quand il fait 15 degrés.
Traversée du lac, et autres fantaisies, comme descente assis depuis la cascade gelée (c'est plus rapide).
J'ai vraiment aimé mon séjour ici, et je reviendrai dans les rocheuses canadiennes un jour !!!
Quelques photos à apprécier sans modération pour que vous compreniez pourquoi ce désir.
Un havre de paix au milieu des montagnes, peu de monde (encore moins qu'à Banff), je peux dire que nous avons bien profité de la montagne et de l'air frais.
Promenades (des dizaines de kilomètres en 3 jours) donc une journée en ski de fond, vraiment un grand plaisir malgré la neige à tendance soupe en fin de journée, forcement quand il fait 15 degrés.
Traversée du lac, et autres fantaisies, comme descente assis depuis la cascade gelée (c'est plus rapide).
J'ai vraiment aimé mon séjour ici, et je reviendrai dans les rocheuses canadiennes un jour !!!
Quelques photos à apprécier sans modération pour que vous compreniez pourquoi ce désir.
Banff
Ca y est, me voici dans les rocheuses canadiennes, depuis le temps que j'en entends parler je vais enfin pouvoir dire que j'étais là.
Banff, célèbre ville touristique du parc national portant le même nom, elle a grandi au fil des ans.
Je dois dire qu'à cette période de l'année (fin de l'hiver et de la saison de ski, et pas encore l'été) c'était plutôt tranquille.
Promenades, en haut de la Tunnel Mountain, ou même une montée à pied en haut de la Sulphur Mountain pour en redescendre avec le télécabine !! Autour du chateau, et non loin des sources d'eaux chaudes (qui sont à la base du développement touristique) ce fut un grand bol d'air frais !!!
J'ai même eu le plaisir partager les promenades avec d'autres touristes voyageurs.
Banff, célèbre ville touristique du parc national portant le même nom, elle a grandi au fil des ans.
Je dois dire qu'à cette période de l'année (fin de l'hiver et de la saison de ski, et pas encore l'été) c'était plutôt tranquille.
Promenades, en haut de la Tunnel Mountain, ou même une montée à pied en haut de la Sulphur Mountain pour en redescendre avec le télécabine !! Autour du chateau, et non loin des sources d'eaux chaudes (qui sont à la base du développement touristique) ce fut un grand bol d'air frais !!!
J'ai même eu le plaisir partager les promenades avec d'autres touristes voyageurs.
Calgary
Me voici maintenant en Alberta, au pied des rocheuses.
Ce nom vous dit peut-être quelque chose, c'était le théâtre des jeux olympiques d'hiver en 1988.
Ancienne petite ville du Far West canadien, cowboys etc. (il y a un grand festival le Stampede en juillet, Calgary devient alors un temple du rodéo).
Depuis les Buildings ont jailli du sol comme les hydrocarbures qui font la richesse de cette province.
Promenades en ville, et aux alentours ont été mon quotidien.
Et bien sûr, je ne pouvais pas manquer de marcher sur les traces de Sanka le long de la piste de bobsleigh... Avis aux connaisseurs... "Bise mon oeuf" Choup !
Ce nom vous dit peut-être quelque chose, c'était le théâtre des jeux olympiques d'hiver en 1988.
Ancienne petite ville du Far West canadien, cowboys etc. (il y a un grand festival le Stampede en juillet, Calgary devient alors un temple du rodéo).
Depuis les Buildings ont jailli du sol comme les hydrocarbures qui font la richesse de cette province.
Promenades en ville, et aux alentours ont été mon quotidien.
Et bien sûr, je ne pouvais pas manquer de marcher sur les traces de Sanka le long de la piste de bobsleigh... Avis aux connaisseurs... "Bise mon oeuf" Choup !
Regina
Je me suis arrêté en chemin entre Winnipeg et Calgary à Regina, capitale de la province Saskatchewan. Pour vous donner une idée cette province correspond aux prairies. Des champs à perte de vue, mais ayant voyagé de nuit à mon arrivée comme à mon départ, je n'en ai pas trop vu la couleur, qui de toutes façons aurait été blanche à cause de la neige.
Quelques chiffres ? bon ok pas de chiffres mais tout de même, province plus grande que la France, et avec environ 1 million d'habitants.
Je me suis donc promené dans la ville, j'ai visité le parlement, puis le musée du Saskatchewan et le musée de la GRC (Gendarmerie Royale du Canada) vous savez cette célèbre police montée.
Ce fût bien agréable ! Pour le reste les photos sont là pour ça.
Quelques chiffres ? bon ok pas de chiffres mais tout de même, province plus grande que la France, et avec environ 1 million d'habitants.
Je me suis donc promené dans la ville, j'ai visité le parlement, puis le musée du Saskatchewan et le musée de la GRC (Gendarmerie Royale du Canada) vous savez cette célèbre police montée.
Ce fût bien agréable ! Pour le reste les photos sont là pour ça.
Technologie
Un long moment dans le silence dû à des problèmes d'accès au serveur que je n'ai pas compris (technologie quand ça veut pas...)
Je vais donc de ce pas rattraper le retard et vous conter mes dernières escapades depuis Winnipeg.
En quelques mots :
Passage d'une journée à Regina, puis Calgary avant de passer une petite semaine dans les rocheuses canadiennes...
Je vais donc de ce pas rattraper le retard et vous conter mes dernières escapades depuis Winnipeg.
En quelques mots :
Passage d'une journée à Regina, puis Calgary avant de passer une petite semaine dans les rocheuses canadiennes...
lundi 30 mars 2009
Winnipeg
L'arrivée à Winnipeg fût un peu fraiche, la température était largement en dessous de zéro, le vent et la neige n'arrangeant rien. Néanmoins après avoir pris un chocolat chaud sur le chemin je suis arrivé à l'auberge de jeunesse dans laquelle je suis resté 3 nuits.
Winnipeg est un grande ville, mais pas tant que ça, dont une des particularités est d'être bilingue. De plus elle est géographiquement séparée par la rivière rouge. Coté ouest anglophone (les nouveaux quartiers), et coté est francophone (vieux quartier de Saint-Boniface). Il y a eu longtemps des rivalités entre les deux communautés ce qui a accentué ces clivages.
Aujourd'hui la ville est paisible les deux cotés de la rivière sont reliés par plusieurs ponts, dont l'esplanade Riel, qui est une passerelle scellant l'amitié entre francophones et anglophones.
J'ai eu plaisir à découvrir les deux facettes de la ville, ainsi que le musée du Manitoba et le musée de Saint-Boniface. La prochaine fois je me promènerai sur les rivages, cette fois-ci ils étaient sous l'eau et la glace à cause de la crue de la rivière rouge... En espérant que les températures soient plus élevées également, -17 degrés (auxquels faudrait rajouter le coefficient éolien) ça fait froid...
N'hésitez pas à parcourir les photos...
Envie de jouer ??? La Seine se cache sur deux des photos, saurez-vous la trouver ???
(un petit indice ?? je parle bien de l'eau qui coule, comme à Paris... ou pas...)
Winnipeg est un grande ville, mais pas tant que ça, dont une des particularités est d'être bilingue. De plus elle est géographiquement séparée par la rivière rouge. Coté ouest anglophone (les nouveaux quartiers), et coté est francophone (vieux quartier de Saint-Boniface). Il y a eu longtemps des rivalités entre les deux communautés ce qui a accentué ces clivages.
Aujourd'hui la ville est paisible les deux cotés de la rivière sont reliés par plusieurs ponts, dont l'esplanade Riel, qui est une passerelle scellant l'amitié entre francophones et anglophones.
J'ai eu plaisir à découvrir les deux facettes de la ville, ainsi que le musée du Manitoba et le musée de Saint-Boniface. La prochaine fois je me promènerai sur les rivages, cette fois-ci ils étaient sous l'eau et la glace à cause de la crue de la rivière rouge... En espérant que les températures soient plus élevées également, -17 degrés (auxquels faudrait rajouter le coefficient éolien) ça fait froid...
N'hésitez pas à parcourir les photos...
Envie de jouer ??? La Seine se cache sur deux des photos, saurez-vous la trouver ???
(un petit indice ?? je parle bien de l'eau qui coule, comme à Paris... ou pas...)
Le tour des grands lacs
Et c'est parti pour faire le tour des grands lacs.
Au départ de Toronto, je prends le bus de nuit pour Sault-Sainte-Marie, qui se trouve juste entre le Lac Supérieur et le Lac Huron.
Le trajet prévoyait une petite pause le matin à Sudbury, qui m'a permis de voir un très beau lever de soleil.
Le bus repart et arrive donc à Sault-Sainte-Marie. La particularité de cette ville est qu'elle se situe juste entre le lac Supérieur et le lac Huron et représente la dernière étape pour la traversée des grands lacs depuis le Saint-Laurent.
Petite promenade du coté des écluses, et des rapides puis le soir retour dans le bus, cette fois en direction de Thunderbay, au nord-ouest du lac Supérieur.
Arrivé au matin, la pluie m'accueille, la journée s'annonce peu agréable, humide, grise, froide et venteuse...
L'hiver n'est pas loin derrière.
Après cette journée à vadrouiller et à apprécier la chaleur du centre commercial, je remonte dans le bus pour une troisième nuit consécutive qui m'amènera à Winnipeg en Manitoba, ma prochaine " vraie " étape.
Au départ de Toronto, je prends le bus de nuit pour Sault-Sainte-Marie, qui se trouve juste entre le Lac Supérieur et le Lac Huron.
Le trajet prévoyait une petite pause le matin à Sudbury, qui m'a permis de voir un très beau lever de soleil.
Le bus repart et arrive donc à Sault-Sainte-Marie. La particularité de cette ville est qu'elle se situe juste entre le lac Supérieur et le lac Huron et représente la dernière étape pour la traversée des grands lacs depuis le Saint-Laurent.
Petite promenade du coté des écluses, et des rapides puis le soir retour dans le bus, cette fois en direction de Thunderbay, au nord-ouest du lac Supérieur.
Arrivé au matin, la pluie m'accueille, la journée s'annonce peu agréable, humide, grise, froide et venteuse...
L'hiver n'est pas loin derrière.
Après cette journée à vadrouiller et à apprécier la chaleur du centre commercial, je remonte dans le bus pour une troisième nuit consécutive qui m'amènera à Winnipeg en Manitoba, ma prochaine " vraie " étape.
mardi 24 mars 2009
Niagara Falls
En étant à Toronto, je me devais d'aller jusqu'aux chutes du Niagara.
J'avais entendu différents avis, de c'est génial à c'est des petites chutes dans une ville. Petites par la taille, puisque la chute Montmorency (vous vous souvenez au nord de Québec) est plus haute par exemple.
Quoi de mieux que de se faire sa propre idée.
Arrivé à la gare routière au nord de la ville, j'ai choisi (une fois de plus) l'option marche jusqu'aux chutes. Un avantage, on découvre tranquillement, et on les découvre au loin d'abord. Petite montée en intensité.
En deux mots : belle surprise !
J'ai vraiment été pris par la puissance de l'eau qui tombe, que ce soit du voile de la mariée (cascade coté américain) ou de la chute en fer à cheval, c'est impressionant.
Je suis arrivé tôt le matin, et les touristes n'étaient pas encore arrivés, ce qui a joué beaucoup dans l'ambiance, devant, ou derrière la chute, où il "pleuvait"... de la glace (ou presque)... on était en dessous de zéro ce matin.
Les photos vous attendent...
J'avais entendu différents avis, de c'est génial à c'est des petites chutes dans une ville. Petites par la taille, puisque la chute Montmorency (vous vous souvenez au nord de Québec) est plus haute par exemple.
Quoi de mieux que de se faire sa propre idée.
Arrivé à la gare routière au nord de la ville, j'ai choisi (une fois de plus) l'option marche jusqu'aux chutes. Un avantage, on découvre tranquillement, et on les découvre au loin d'abord. Petite montée en intensité.
En deux mots : belle surprise !
J'ai vraiment été pris par la puissance de l'eau qui tombe, que ce soit du voile de la mariée (cascade coté américain) ou de la chute en fer à cheval, c'est impressionant.
Je suis arrivé tôt le matin, et les touristes n'étaient pas encore arrivés, ce qui a joué beaucoup dans l'ambiance, devant, ou derrière la chute, où il "pleuvait"... de la glace (ou presque)... on était en dessous de zéro ce matin.
Les photos vous attendent...
Toronto
Après mon petit passage chez Bob, me voici en route pour Toronto.
Plus grande ville du Canada, capitale économique, elle à tout d'une grande ville.
J'ai commencé ma visite, un fois les bagages posés dans une auberge de jeunesse, par la visite de la Tour CN. La plus haute construction du monde avec 553,33 mètres.
J'ai pris de la hauteur pour voir un peu les environs, et admirer une fois de plus un coucher de soleil de toute beauté.
Promenade dans les rues, le long du front de lac, dans les différents quartier, je me sentais à l'aise, et surtout bien loin du bois dans lequel je me trouvais il n'y a pas si longtemps.
Après avoir pas mal parcouru le centre, je me suis éloignés jusqu'aux plages, très agréables. J'ai même tenter de discuter avec une mouette... j'ai rien compris...
J'ai bien senti le printemps arriver ! et j'ai bien apprécié mon passage par ici !
Plus grande ville du Canada, capitale économique, elle à tout d'une grande ville.
J'ai commencé ma visite, un fois les bagages posés dans une auberge de jeunesse, par la visite de la Tour CN. La plus haute construction du monde avec 553,33 mètres.
J'ai pris de la hauteur pour voir un peu les environs, et admirer une fois de plus un coucher de soleil de toute beauté.
Promenade dans les rues, le long du front de lac, dans les différents quartier, je me sentais à l'aise, et surtout bien loin du bois dans lequel je me trouvais il n'y a pas si longtemps.
Après avoir pas mal parcouru le centre, je me suis éloignés jusqu'aux plages, très agréables. J'ai même tenter de discuter avec une mouette... j'ai rien compris...
J'ai bien senti le printemps arriver ! et j'ai bien apprécié mon passage par ici !
dimanche 22 mars 2009
Dans le bois...
Rien de mieux que de passer voir Bob en Ontario pour commencer.
Vous souvenez-vous ? il faisait du traîneau également, il m'avait invité à passer...
Je me suis donc arrêté chez lui sur mon chemin entre Montréal et Toronto.
Il habite dans le bois, et ce n'est pas peu de le dire, quelque part au Nord de Belleville...
Il est très très bien installé dans son " base camp ", sans électricité, sans eau courante... avec le gaz pour l'éclairage, et un poêle à bois pour chauffer... Le tout à plus de 1500 mètres de son plus proche voisin...
Calme, et calme, j'ai passé de super moments en très bonne compagnie...
Et devinez quoi ? on a parlé voyages...
Vous souvenez-vous ? il faisait du traîneau également, il m'avait invité à passer...
Je me suis donc arrêté chez lui sur mon chemin entre Montréal et Toronto.
Il habite dans le bois, et ce n'est pas peu de le dire, quelque part au Nord de Belleville...
Il est très très bien installé dans son " base camp ", sans électricité, sans eau courante... avec le gaz pour l'éclairage, et un poêle à bois pour chauffer... Le tout à plus de 1500 mètres de son plus proche voisin...
Calme, et calme, j'ai passé de super moments en très bonne compagnie...
Et devinez quoi ? on a parlé voyages...
samedi 21 mars 2009
Montréal bis
De retour à Montréal après un séjour plus au nord, je m'en vais voir le stade Olympique, et juste à côté le biodome. Cherchez l'intrus dans les photos du biodome !
Très belle journée, la neige à vraiment beaucoup fondu en une semaine, le printemps s'en vient.
Il est temps pour moi de quitter le Québec et de découvrir l'Ontario. Je dis au revoir aux amis que j'ai retrouvé et je vous dis à bientôt.
Très belle journée, la neige à vraiment beaucoup fondu en une semaine, le printemps s'en vient.
Il est temps pour moi de quitter le Québec et de découvrir l'Ontario. Je dis au revoir aux amis que j'ai retrouvé et je vous dis à bientôt.
Chute Montmorency
De retour à Québec après cette semaine haute en émotions, j'accompagne des amis à la chute Montmorency, au nord de Québec.
Je l'avais déjà vue, mais cette fois-ci l'hiver n'est pas encore fini.
Le pain de sucre est encore là, cette formation de glace qui se forme au pied de la chute !
Je l'avais déjà vue, mais cette fois-ci l'hiver n'est pas encore fini.
Le pain de sucre est encore là, cette formation de glace qui se forme au pied de la chute !
mercredi 18 mars 2009
Traîneau à chiens
Alors alors ?? Qui avait deviné qu'il s'agissait de traîneau à chiens d'après le message qui précédait ??
Je vous laisse tranquillement découvrir une nouvelle section du site pour ça...
Je vous laisse tranquillement découvrir une nouvelle section du site pour ça...
lundi 16 mars 2009
Charlevoix
Destination après avoir enfin eu mon bus.
Je ne suis pas resté bien longtemps à Saint-Aimé-des-Lacs qui était simplement un point de départ (et d'arrivée).
Un point de départ, mais pour où ?? Eh bien pour le bois !
J'ai passé 5 jours magnifiques en très bonne compagnie, Louis-David, Bob, Benoît... Encore merci à vous 3 !
Mais je ne vais pas oublier Charlie, Penta... Chicoutée, Tokyo, Shanna, Ringo... Blanche, Tim, Mic-Mac, Tonnerre, Kapi, Laxou... et tous les autres...
Au programme, neige, vent, soleil, froid, rivières, lacs, poèle, bois, hache, harnais, ancres... etc.
La suite très prochainement, le temps de trier quelques photos !!
Je ne suis pas resté bien longtemps à Saint-Aimé-des-Lacs qui était simplement un point de départ (et d'arrivée).
Un point de départ, mais pour où ?? Eh bien pour le bois !
J'ai passé 5 jours magnifiques en très bonne compagnie, Louis-David, Bob, Benoît... Encore merci à vous 3 !
Mais je ne vais pas oublier Charlie, Penta... Chicoutée, Tokyo, Shanna, Ringo... Blanche, Tim, Mic-Mac, Tonnerre, Kapi, Laxou... et tous les autres...
Au programme, neige, vent, soleil, froid, rivières, lacs, poèle, bois, hache, harnais, ancres... etc.
La suite très prochainement, le temps de trier quelques photos !!
dimanche 8 mars 2009
Québec
Un bus de raté, et je prends donc le temps de mettre à jour le site, forcement j'ai environ 5 heures d'attente avant le prochain.
J'ai passé quelques jours à Québec, et j'ai pu redécouvrir cette architecture bien européenne.
La météo n'a pas toujours été très agréable, néanmoins, je ne peux pas me plaindre de la température, il n'a pas fait froid.
Entre les classiques, château de Frontenac, parlement, le petit Champlain, les plaines d'Abraham, et tout le reste, je m'en suis encore mis plein les yeux...
A votre tour avec les quelques photos que j'ai mis en ligne !
J'ai passé quelques jours à Québec, et j'ai pu redécouvrir cette architecture bien européenne.
La météo n'a pas toujours été très agréable, néanmoins, je ne peux pas me plaindre de la température, il n'a pas fait froid.
Entre les classiques, château de Frontenac, parlement, le petit Champlain, les plaines d'Abraham, et tout le reste, je m'en suis encore mis plein les yeux...
A votre tour avec les quelques photos que j'ai mis en ligne !
Comment rater son bus ?
C'est une bien bonne question n'est-ce pas ?
Il y a plein de façons de le rater, on pourrait partir en retard, être bloqué dans les embouteillages, ou même avec beaucoup de malchance crever un pneu, avoir une panne quelconque.
Mais c'est trop simple pour moi tout ça.
Il me fallait quelque chose d'unique, qui arrive une seule fois dans l'année, ce phénomène connu, mais que j'avais oublié, le fameux changement d'heure...
Résultat je suis arrivé à la gare routière 45 min après que le bus soit parti, j'avais même de l'avance pour une fois...
Tout ça pour dire que je suis toujours à Québec pour quelques heures, et que je partirai cet après-midi pour Clermont histoire de prendre le grand air.
Il y a plein de façons de le rater, on pourrait partir en retard, être bloqué dans les embouteillages, ou même avec beaucoup de malchance crever un pneu, avoir une panne quelconque.
Mais c'est trop simple pour moi tout ça.
Il me fallait quelque chose d'unique, qui arrive une seule fois dans l'année, ce phénomène connu, mais que j'avais oublié, le fameux changement d'heure...
Résultat je suis arrivé à la gare routière 45 min après que le bus soit parti, j'avais même de l'avance pour une fois...
Tout ça pour dire que je suis toujours à Québec pour quelques heures, et que je partirai cet après-midi pour Clermont histoire de prendre le grand air.
mardi 3 mars 2009
Montréal, QC
Je crois bien que cette première intervention était attendue de certains d'entre vous.
Enfin, voici des nouvelles.
Comme je vous l'ai dit je suis au Québec, plus précisément à Montréal, ça fait maintenant une semaine que je me promène dans les rues de cette merveilleuse ville !
Je loge chez un ami qui a élu résidence ici depuis quelques années.
J'ai eu le plaisir de me promener dans différents quartiers et sur le Mont Royal. Ce magnifique parc au centre de l'île (oui, Montréal est une île sur le Saint Laurent) offre un dépaysement complet, ce coeur de verdure qui bat au rythme des promeneurs, qu'ils soient touristes ou Montréalais en quête de relaxation.
J'ai pu redécouvrir ce mélange d'architecture moderne et ancienne, le calme des îles au sud, ou encore la bonne humeur qui est présente sur les visages.
Malgré la température, assez fraîche, je me suis bien habitué à ce changement de climat, fraîcheur que l'on peut facilement laisser de coté lorsque l'on se promène dans les longs couloirs de la ville souterraine.
Je ne vais pas tarder à prendre la route pour Québec, cette ville au style très européen qui est la capitale du Québec.
A bientôt
Enfin, voici des nouvelles.
Comme je vous l'ai dit je suis au Québec, plus précisément à Montréal, ça fait maintenant une semaine que je me promène dans les rues de cette merveilleuse ville !
Je loge chez un ami qui a élu résidence ici depuis quelques années.
J'ai eu le plaisir de me promener dans différents quartiers et sur le Mont Royal. Ce magnifique parc au centre de l'île (oui, Montréal est une île sur le Saint Laurent) offre un dépaysement complet, ce coeur de verdure qui bat au rythme des promeneurs, qu'ils soient touristes ou Montréalais en quête de relaxation.
J'ai pu redécouvrir ce mélange d'architecture moderne et ancienne, le calme des îles au sud, ou encore la bonne humeur qui est présente sur les visages.
Malgré la température, assez fraîche, je me suis bien habitué à ce changement de climat, fraîcheur que l'on peut facilement laisser de coté lorsque l'on se promène dans les longs couloirs de la ville souterraine.
Je ne vais pas tarder à prendre la route pour Québec, cette ville au style très européen qui est la capitale du Québec.
A bientôt
lundi 16 février 2009
Le chemin continue...
Vous ne rêvez pas, c'est bien moi, de retour sur la toile après une petite absence, le temps de préparer de nouvelles surprises.
C'est avec quelques nouvelles que je commence :
occasion pour moi de dire qu'aujourd'hui tout va bien !
une petite pause le temps de se retrouver était la bienvenue.
c'est pas pour autant que le temps s'est arrêté,
on peut même dire qu'il passe bien vite,
un peu trop vite, ça je ne sais pas...
Je suis prêt à faire de nouvelles aventures,
et à découvrir de nouvelles choses !
Très simplement, je serai bientôt au Québec.
Au programme, profiter de la fin de l'hiver et de la neige.
il y a tellement de choses que j'aimerais faire,
même si je les ai déjà faites pour certaines, j'ai une envie.
emplir mes yeux et vos yeux de beaux paysages...
Le chemin continue donc, avec un amour toujours fort, un amour du voyage qui ne me quittera pas de sitôt...
Et c'est au fil des jours que je partirai cette fois-ci, avec pour compagnie la nature qui nous entoure.
Ici ou ailleurs, je serai toujours là...
C'est avec quelques nouvelles que je commence :
occasion pour moi de dire qu'aujourd'hui tout va bien !
une petite pause le temps de se retrouver était la bienvenue.
c'est pas pour autant que le temps s'est arrêté,
on peut même dire qu'il passe bien vite,
un peu trop vite, ça je ne sais pas...
Je suis prêt à faire de nouvelles aventures,
et à découvrir de nouvelles choses !
Très simplement, je serai bientôt au Québec.
Au programme, profiter de la fin de l'hiver et de la neige.
il y a tellement de choses que j'aimerais faire,
même si je les ai déjà faites pour certaines, j'ai une envie.
emplir mes yeux et vos yeux de beaux paysages...
Le chemin continue donc, avec un amour toujours fort, un amour du voyage qui ne me quittera pas de sitôt...
Et c'est au fil des jours que je partirai cette fois-ci, avec pour compagnie la nature qui nous entoure.
Ici ou ailleurs, je serai toujours là...
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